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L'homme qui se croyait plus beau qu'il n'était

Couverture du livre « L'homme qui se croyait plus beau qu'il n'était » de Mickael Korvin aux éditions Serpent A Plumes Editions
Résumé:

L'Homme qui se croyait plus beau qu'il n'était est un roman en quatre-vingt dix histoires, un puzzle en quatre-vingt dix pièces. Certaines sont douces, d'autres cruelles, toutes sont animées, drôles et crues.
Le Narrateur raconte sa vie, morcélée, et pourtant cohérente.
C'est la vie d'un... Voir plus

L'Homme qui se croyait plus beau qu'il n'était est un roman en quatre-vingt dix histoires, un puzzle en quatre-vingt dix pièces. Certaines sont douces, d'autres cruelles, toutes sont animées, drôles et crues.
Le Narrateur raconte sa vie, morcélée, et pourtant cohérente.
C'est la vie d'un homme, entre Budapest, Auschwitz, Cuba, New-York et Paris, partagée entre le le XXème et le XXIème siècle, animée par l'amour, les passions, les deuils.
Le lecteur recollera les morceaux de lui-même.
Pour son huitième roman, entre Sei Shônagon et Perec, Mickael Korvin nous offre une vie en quatre-vingt dix scènes tombées de la boîte de Je d'un grand enfant rêveur.

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Avis (1)

  • Le dernier livre de Mickael Korvin se déroule en 90 chapitres très courts et percutants. Tantôt, l'auteur évoque les atermoiements de l'étudiant, tantôt les tourments de l'écrivain en devenir, puis revient sur une anecdote concernant le pré-adolescent, poursuit avec les déboires du...
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    Le dernier livre de Mickael Korvin se déroule en 90 chapitres très courts et percutants. Tantôt, l'auteur évoque les atermoiements de l'étudiant, tantôt les tourments de l'écrivain en devenir, puis revient sur une anecdote concernant le pré-adolescent, poursuit avec les déboires du quinquagénaire dépositaire d'un stand aux Puces et revient parfois sur l'histoire d'une famille hongroise devenue roumaine, quelque part dans les montagnes de Transylvanie, hantée par Dracula et l'Holocauste.
    Ces multiples scénettes, à l'accent hyper réaliste, se présentent au fil de la lecture, selon aucun ordre apparent, comme si l'auteur avait laissé tombé les pages de son manuscrit, dans l'escalier, en arrivant chez son éditeur, et les avait rassemblées rapidement avant de lui livrer le paquet tel quel.
    Tout au long de son récit, Mickael KORVIN emploie la troisième personne, comme si du bébé, au garçonnet jusqu'au quinquagénaire, chacun balloté à sa façon par les évènements de la vie, il n'avait été qu'un observateur. Regarder de cette façon sa vie à distance, lui a incontestablement permis d'écarter les détours narratifs et pompeux liés à l'inévitable ménagement de l'égo de l'écrivain. Et, c'est cette prise de recul, qui donne cette coloration toute particulière à son texte : pas d'emphase que du factuel !
    Malgré, les moments dramatiques évoqués, les coups du sort et les occasions ratées, son texte garde une légèreté toute particulière, renforcée par des traits d'humour et beaucoup de désinvolture.
    Le génie de l'auteur tient dans ce rapport 90 moments sur 154 pages. Il a veillé à relater chaque anecdote de manière très synthétique, sans fioriture, comme pris sur le vif et a su, par ailleurs, se limiter dans le nombres d'évènements choisis, pour ne pas faire de son livre le catalogue de sa vie.
    Le lecteur sort de son univers repu, mais non pas saturé et gavé. Un vrai bonheur !

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