Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
« Mon premier contact avec les secrets qui allaient gouverner ma vie, ce fut cette trouvaille que je fis par un après-midi désoeuvré dans le grenier de notre maison de Voorburg. Derrière quelques malles hermétiquement closes, je découvris dans l'armoire-penderie, dissimulée au-delà d'une haie touffue de manteaux d'hiver dégageant une forte odeur de naphtaline, une autre malle qui, elle, n'était pas fermée à clé - ce qui, rétrospectivement, ne laisse pas d'étonner. Outre quelques chemises, des pantalons et diverses babioles, elle contenait un casque. Un casque noir à la brillance menaçante, portant d'un côté un emblème noir-blanc-rouge et de l'autre deux petits éclairs d'un blanc éclatant... ».
Ainsi commence L'Héritier du nom, fresque d'une ampleur inouïe qui raconte l'histoire de la famille Miinninghoff, dont la vie a coïncidé, peu ou prou, avec les fracas du xx' siècle. Pour reconstituer cette histoire, l'auteur, journaliste et spécialiste de la Russie, a travaillé des décennies durant, fouillant les archives ainsi que la mémoire des vivants et des morts : il livre un témoignage exceptionnel, mais aussi un récit picaresque aux mille rebondissements, un roman d'espionnage, un récit de guerre et d'après-guerre sur les «soldats perdus» du Troisième Reich... L'Héritier du nom a rencontré un fulgurant succès aux Pays-Bas et a été couronné par le prix Libris - le plus prestigieux en non-fiction. En cours de traduction dans plusieurs pays, ce livre fera bientôt l'objet d'une adaptation au cinéma.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron