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Les resistants le peuple doit pouvoir prendre la parole

Couverture du livre « Les resistants le peuple doit pouvoir prendre la parole » de Sandler Alain aux éditions 7 Ecrit
  • Date de parution :
  • Editeur : 7 Ecrit
  • EAN : 9782368490440
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

"La vertu d'un peuple, c'est la responsabilité des Citoyens" Montesquieu.

J'enrage de voir les citoyens français se laisser manipuler dans un système politique complètement sclérosé et rester inertes, léthargiques, alors que c'est à eux de réagir et de s'exprimer pour faire bouger la France.... Voir plus

"La vertu d'un peuple, c'est la responsabilité des Citoyens" Montesquieu.

J'enrage de voir les citoyens français se laisser manipuler dans un système politique complètement sclérosé et rester inertes, léthargiques, alors que c'est à eux de réagir et de s'exprimer pour faire bouger la France. Le personnel politique tue à petit feu la Ve République, créée par le Général de Gaulle. C'est au peuple de France de la soigner et de la guérir. C'est un devoir de mémoire et de respect envers celui qui a su être un homme providentiel, entré dans l'histoire de notre pays. Pour atteindre cet objectif, un seul mot d'ordre : résister. Résister à la main mise des partis politiques sur le pouvoir et prendre la parole en imposant la démocratie directe pour accompagner la démocratie représentative qui ne suffit plus. Les citoyens se doivent de saisir cette chance pour la France, pour son sursaut. Cet appel s'adresse à tous les Français élus ou pas qui prennent conscience que nos institutions politiques, économiques et sociales ne sont plus adaptées au monde moderne et qu'elles ont besoin d'une refonte afin de retrouver la compétitivité indispensable pour le bien-être des Français. C'est la raison essentielle, pour laquelle il est nécessaire que le peuple ait son mot à dire dans la gestion du pays, les élus ne pouvant être à la fois juge et partie, personne ne détenant la science infuse.
Le général de Gaulle en dénonça tous les dangers : " Si, malgré l'esprit de ce qui a été voté en 1958, les partis se ré emparent des institutions de la République, alors rien ne vaut plus. Si à la place de ce chef de l'état, qui est fait pour empêcher que la République ne retombe à la discrétion des partis, on met un Chef d'État qui n'est qu'une émanation des partis politiques, alors tout ce que l'on aura écrit dans la constitution ne changera rien à rien. On en reviendra au point de départ, ce serait une catastrophe nationale. " Et bien, nous y sommes et c'est une très grande défaite pour la démocratie.

"Ne demandez pas à votre pays ce qu'il peut faire pour vous, mais demandez-vous ce que vous pouvez faire pour votre pays" J.F. KENNEDY.

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