Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Le cinéma muet, dans ses premières réalisations (Les Vampires, Les Mystères de New York, les films de Charlot et de Buster Keaton), a nourri l'imagination des surréalistes. André Breton exalte son «pouvoir de dépaysement» et Robert Desnos, à son tour, ne cesse d'affirmer la force dépaysante d'un art dont la magie opère à la façon d'une drogue : «parmi les stupéfiants cérébraux, le cinéma devient le plus puissant». De 1923 à 1929, Desnos tint une rubrique cinématographique dans divers journaux, qu'il avait intitulée, en hommage à Victor Hugo, Les rayons et les ombres. Ces articles sur le cinéma ouvrent le présent volume ; viennent ensuite les divers écrits de Desnos pour le cinéma (scénarios, projets divers, adaptations de romans) ; bien peu ont atteint le stade de la réalisation.Les rayons et les ombres, Cinéma témoigne d'une histoire d'amour qui lia plus de vingt ans Desnos au septième art.
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