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Alain Braik concevait la vie de l'esprit comme une tâche pratique qu'il s'efforçait, malgré toutes les difficultés liées à sa situation d'éditeur-imprimeur, de mener à bien en éditant des textes anciens et contemporains.
Ce travail, c'était son engagement, sa vie. En 1983, confronté sur le terrain culturel à la surproduction éditoriale et ses avatars, il comprit l'importante question de la qualité soulevée par Jacques Néauport dans le domaine du vin. Il avait vu alors, dans Les Réflexions d'un amateur de vin, une très belle illustration du combat pour la qualité, et en les publiant, il voulait démontrer concrètement l'absurdité d'un système qui sacrifie la qualité au profit de la standardisation.
Le mauvais sort réservé à l'agriculture et à la culture se trouvait là objectivement dénoncé : pourquoi continuer à publier des livres sans contenu ? Pourquoi s'obstiner à produire des vins sans esprit ? Dans Les raisins de la raison que nous publions aujourd'hui est rassemblée la correspondance d'Alain Braik de 1983 à 1988 dans laquelle il développe un point de vue critique inattendu à propos du monde du vin : lettres à Jacques Néauport, à Marcel Lapierre, etc.
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