Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Paru pour la première en 1913, ce texte de critique d'art d'Apollinaire a connu plusieurs éditions. L'ouvrage se compose de deux parties : la première, « Méditations esthétiques », constitue une sorte d'introduction d'ordre général à la seconde, « Peintres nouveaux » dans laquelle l'auteur analyse l'oeuvre de neuf peintres représentatifs de la nouvelle tendance : Picasso, Braque, Metzinger, Gleizes, Marie Laurencin, Juan Gris, Fernand Léger, Francis Picabia, Marcel Duchamp et un sculpteur auquel est consacré un appendice : Duchamp-Villon. Ce texte est fondamental dans l'histoire de l'art. Il faut le replacer dans son contexte. Il s'agit de la première tentative de définition de ce nouveau courant pictural en plein essor dans les années qui précèdent le conflit de 1914-1918. Apollinaire s'y fait un extraordinaire critique d'art que le talent du poète ne doit pas éclipser. Le premier il a su rendre justice à nombre d'artistes, notamment Braque qui sera à l'honneur à l'occasion de cette grande exposition qui se tiendra à l'automne au Grand Palais.
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