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Les Chemins Parcourus

Couverture du livre « Les chemins parcourus » de Edith Wharton aux éditions Flammarion
  • Date de parution :
  • Editeur : Flammarion
  • EAN : 9782081522121
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Admirée par Henry James qui vit en elle «l'ange de la dévastation», Edith Wharton fut l'une des romancières les plus célèbres de son temps, auteure de chefs-d'oeuvre tels que Le Temps de l'innocence, Chez les heureux du monde, Ethan Frome ou Les New-Yorkaises. Dans cette autobiographie rédigée... Voir plus

Admirée par Henry James qui vit en elle «l'ange de la dévastation», Edith Wharton fut l'une des romancières les plus célèbres de son temps, auteure de chefs-d'oeuvre tels que Le Temps de l'innocence, Chez les heureux du monde, Ethan Frome ou Les New-Yorkaises. Dans cette autobiographie rédigée au soir de sa vie, elle jette «un regard en arrière sur les chemins parcourus». Après un mariage avec le neurasthénique Teddy Wharton, sacrifice sur l'autel des convenances, la jeune écrivaine aux émotions corsetées hante en automobile la campagne florentine, échappe au choléra, fréquente les sociétés intellectuelles d'Europe. Livre après livre, elle construit une oeuvre pionnière qui exalte l'émancipation féminine et souligne les ambivalences des choix amoureux.Confessions du siècle, ces Mémoires savoureux nous révèlent à mots choisis les coutures d'un art féroce habillé de chic. Une fascinante leçon de talent.

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Avis (1)

  • Publié quand elle avait 62 ans, cette autobiographie d'Edith Wharton a des aspects intéressants et d'autres qui le sont moins. Parmi ce qui ne m'a pas emportée, je mettrais toutes les références aux personnages qu'elle a côtoyées. Quand elle se contente d'aligner le nom de personnes de la haute...
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    Publié quand elle avait 62 ans, cette autobiographie d'Edith Wharton a des aspects intéressants et d'autres qui le sont moins. Parmi ce qui ne m'a pas emportée, je mettrais toutes les références aux personnages qu'elle a côtoyées. Quand elle se contente d'aligner le nom de personnes de la haute société qu'elle a connues, c'est lassant. Quand elle parle longuement d'Henry James, c'est touchant:

    The real marriage of true minds is for any two people to possess a sense of humour and irony pitched in exactly the same key.

    Ce que j'ai par contre aimé, c'est sa modestie. Les autobiographies me dérangent parce qu'elles ressemblent souvent à des règlements de compte ou à de l'autocongratulation, rien de cela ici. Elle ne mentionne même pas le fait qu'elle fut la première femme à recevoir le prix Pulitzer (en 1921) et elle se met peu en valeur quand elle parle des années de guerre, alors que ses actes lui ont valu La légion d'honneur. Elle parle assez peu de son mari, ne mentionne pas sa frustration d'avoir vécu pendant vingt-six ans une union qui n'a peut-être jamais été consommée, n'évoque pas non plus son histoire passionnelle avec le journaliste Morton Fullerton, qu'elle suppliera de rendre ses lettre d'amour mais qui préféra les vendre. Mais de quoi parle-telle donc alors? Elle évoque surtout ce Old New-York qu'elle a tant décrié dans ses premières oeuvres, ces nantis qui devaient surtout leur richesse à l' héritage de propriétés dont la valeur avait soudain grimpé.

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