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Une nuit de février 1794, en pleine guerre de Vendée, le commandant Vautrain, invalide de guerre, amnésique, est séduit par une jeune et intrépide aventurière, Gaëlle Keradec. Il sera par la suite chargé par l'autorité militaire de la retrouver afin de la traduire devant le tribunal militaire. Tout au long de sa traque, il découvre les horreurs de cette guerre fratricide. Il prend peu à peu conscience qu'il est amoureux de celle qu'il est chargé de poursuivre, et découvre qu'elle aussi est amoureuse de lui.
Dans son journal, il relate au jour le jour des événements qui surviennent, note les réflexions qu'ils inspirent, évoque ses aspirations et ses rêveries...
1796, la paix est signée mais sa mise en application est confiée à ceux-là mêmes qui perpétrèrent les massacres.
Face à cette situation, les trois personnages principaux évolueront de façon différente.
Gaëlle reprendra la lutte, sachant qu'elle est désespérée et qu'elle la conduira au martyre.
Pour Gatary, ce sera le renoncement et le repli sur soi.
Vautrain tentera, lui, le grand écart: s'intégrer par mimétisme au contexte local, tenter de rapprocher les deux bords par l'éducation et la catharsis, prévenir les coups bas en provenance des deux bords.
Pour se doter des moyens de sa politique, il sera lui aussi conduit à recourir à la magouille et au meurtre.
Une évocation historique de ce conflit sera ainsi dessinée à travers l'évolution psychologique des personnages, face à la chronologie des événements.
Ce roman évoque une tranche d'histoire qui, aujourd'hui encore, affecte la mémoire collective des Vendéens.
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