Florence Cestac raconte sa grande évasion du patriarcat : une BD aussi caustique que sensible
Cet album de Tintin, qui est l’avant-dernier album, nous fait voyager sur une île volcanique, où Tintin et ses amis ont été kidnappés. Dans cet épisode, nous découvrons que Hergé pousse la psychologie de ses personnages plus loin, ils sont plus adultes dans leur comportement. Le capitaine Haddock montre ouvertement son admiration à Tintin.
Le scénario est bien ficelé et permet à Hergé d’aborder la science-fiction avec diplomatie. C’est l’un des seuls albums l’abordant de manière si juste et parfaitement maîtrisée un peu à la manière d’X-files, où tout est dans la suggestion.
Cet album était l’un de mes préférés lorsque j’avais 10 ans et aujourd’hui il le reste, grâce à cette histoire particulière et son graphisme. En effet, le graphisme est soigné et présente beaucoup de décors différents. La scène de l’atterrissage est rythmée ainsi que les courses poursuites, avec bien sûr toujours ce petit humour sympathique qui ne prend jamais le dessus de l’histoire.
Un très bon album où Tintin devient encore plus un héros grâce à ses actions héroïques.
Incursion de Tintin avec le monde de la science fiction, ce n'est pas un chef d'oeuvre, mais j'aime bien cet album. Il contient la séquence d'anthologie du capitaine haddock avec le sparadrap qui circule dans l'avion de Carreidas.
Le gag de Rastapopoulos et sa ressemblance avec le nasique est également un bon moment
Un autre volume sacrément bon
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Florence Cestac raconte sa grande évasion du patriarcat : une BD aussi caustique que sensible
Le 8 mars, attention aux impairs et contresens !
Une soirée événement "Un endroit où aller" avec les éditions Kana et la librairie "Le Renard Doré"
Gratuits et accessibles à tous, des rendez-vous à ne pas manquer avec les auteurs et autrices du moment (mise à jour du 04/03)