Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
À l'école du libertinage, quarante-deux jeunes gens sont soumis corps et âmes aux fantasmes des maîtres du château. Premier chef-d'oeuvre du marquis de Sade, tout à la fois scandale et révolution littéraire, chacune de ces cent vingt journées de Sodome est un tableau des vices et perversions les plus criminelles, découvrant avec un inimitable génie la face noire et inavouable de l'homme.
C'est certainement le livre le plus effroyable et le plus répugnant de toute la littérature, la belle langue française est, ici, tressée avec le vocabulaire le plus vulgaire et abjecte qui soit. Il n'y a rien de vraiment érotique dans ce roman, la violence et la cruauté allant crescendo jusqu'au dénouement final. On passe allègrement de la pédophilie à la scatophagie en passant par la nécrophilie. Parfois on sent sourdre, des tréfonds crépusculaires, un humour d'une causticité des plus ténébreuses. A lire au moins une fois dans sa vie pour voir jusqu’où un écrivain peut aller dans la perversité.
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