Knud Rasmussen, explorateur danois métissé d'Inuit, accomplit au début du XXème siècle ce qu'aucun homme n'a réalisé avant lui...
Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L'enquête de police n'aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l'été 2018, lorsqu'un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d'imaginer qu'il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s'est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?
Avec la précision d'un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au coeur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça.
Un roman qui m'a laissée très partagée : d'un côté une kyrielle de rebondissements, pas toujours crédibles d'ailleurs, dans l'histoire et de multiples fausses pistes dans cette curieuse enquête, qui tiennent le lecteur en haleine ; de l'autre une accumulation de clichés, une écriture sans recherche, et une sensation de "remplissage", comme si l'auteur avait oublier de resserrer son propos pour le rendre plus abouti… Bref ! Une lecture pas désagréable mais quelque peu décevante.
Je sors de cette lecture, très partagée ! J'ai aimé : - qu'une partie de l'histoire se passe à Genève, j'habite à côté donc plutôt chouette de connaître les lieux - l'enquête, bien ficelée, et j'avais envie de connaître le fin mot de l'histoire Je n'ai pas aimé : - les passages autobiographiques de l'auteur, un peu prétentieux à mon goût, dommage car ils n'apportent rien à l'histoire selon moi. Si l'idée de départ est bonne : rendre hommage à son éditeur Bernard de Fallois, décédé il y a peu à l'écriture du roman, la façon de faire ne m'a pas convaincue - les flashbacks à répétition qui m'ont perdue par moments - les personnages trop clichés sur beaucoup de points auxquels je ne suis pas parvenue à m'attacher.
histoire impossible a élucider tellement le livre est bien écrit. Nous nous imaginons un scénario, une fin, mais l'auteur nous entraine dans un délire impossible a deviner. J'ai adorée
Ce n’est pas le meilleur livre de l’auteur mais il est tout de même très agréable à lire. Sans dévoiler le livre, j’ai trouvé certaines intrigues un peu bancales et peu crédibles. Mais ça ne m’empêchera de lire le prochain.
C’est à la suite d’un besoin pressant de vacances pour couper avec sa vie monacale et un début d’une liaison que Joël – l’écrivain - va se retrouver plonger dans une affaire, et pas des moindres : l’énigme de la chambre 622.
Dans ce grand et long roman, Joël Dicker décrit une histoire bien loin du polar policier. Cette histoire racontée dans le présent nous fait revenir en arrière très souvent et nous donne l’effet d’une histoire qui avance doucement. Et pourtant elle avance bien et on se délecte de la manière que les chapitres se terminent pour continuer sur notre lancée. L’auteur nous fait découvrir plusieurs personnalités dans un triangle amoureux, de jeux de pouvoirs, de coups bas, de trahisons et de jalousies dans une Suisse qui paraît tranquille en apparence.
C’est véritablement en fin de livre que l’enquête y est menée (à déplaire aux amoureux de polar) et que les masques tombent !
Après La Vérité sur l’Affaire Harry Quebert qui a rencontré à juste titre un grand succès, son dernier livre est très réussi. Un coup de cœur pour moi !
Je ne me lasse pas de lire cet auteur, en plus l’histoire se passe dans son pays, la Suisse que je connais bien également. Je le recommande.
Globalement j'ai plutôt passé un bon moment, plus pour l'intrigue qu'autre chose. Effectivement les personnages manquent souvent de relief et puis c'est souvent très mal écrit, c'est dommage de rester dans l'intention. CM
Un nouveau livre de M. Dicker, et une nouvelle demi déception. Certes, l’écrivain a gardé une maîtrise convenable du suspens et du rebondissement, mais il n’y a pas grand-chose d’autre malheureusement.
Les personnages d’abord sont sans relief, malgré leurs talents, leurs intrigues, on ne parvient pas à s’attacher à eux et à vibrer à leurs histoires. Dommage, car ils sont l’âme d’un récit, ce sont eux avant tout qui font que nous tournons fébrilement les pages des romans. Mais ici, des Ebezner aux Levovitch, difficiles à mon sens d’éprouver un semblant d’intérêt. Le style ensuite reste très loin des maîtres du genre, et il devient même parfois pénible, tant l’intrigue traîne artificiellement en longueur. Quant aux péripéties romanesques, elles sont tout de même d’un bon niveau, mais encore une fois, inutilement multipliées pour ajouter des pages et des pages. Et que dire de la partie hommage à l’éditeur défunt qui, si elle parvient tout de même à émouvoir un peu à la toute fin, reste un artifice inutile et qui n’apporte rien au cœur de l’intrigue.
Bref, heureusement que l’intrigue m’a maintenu en éveil, sans quoi ce long roman n’aurait pas mérité la moyenne. M. Dicker reste encore une promesse, qui s’il travaille ses points faibles pourra peut-être un jour je l’espère nous offrir enfin en vrai bon roman.
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Dernière réaction par Sophie Wag il y a 4 heures
Dernière réaction par Philippe Ducourneau il y a 2 jours
Knud Rasmussen, explorateur danois métissé d'Inuit, accomplit au début du XXème siècle ce qu'aucun homme n'a réalisé avant lui...
Quels sont les titres à glisser dans les valises des jeunes lecteurs et lectrices ?
Petit budget, petit format… mais grandes émotions littéraires pour les vacances !
Spécialiste de l’apprentissage de la lecture chez l’enfant, Grégoire Borst détaille les difficultés qui peuvent entraver ce processus et propose des conseils et pistes d’amélioration