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Une nuit de décembre, un meurtre a lieu au Palace de Verbier, dans les Alpes suisses. L'enquête de police n'aboutira jamais.
Des années plus tard, au début de l'été 2018, lorsqu'un écrivain se rend dans ce même hôtel pour y passer des vacances, il est loin d'imaginer qu'il va se retrouver plongé dans cette affaire.
Que s'est-il passé dans la chambre 622 du Palace de Verbier?
Avec la précision d'un maître horloger suisse, Joël Dicker nous emmène enfin au coeur de sa ville natale au fil de ce roman diabolique et époustouflant, sur fond de triangle amoureux, jeux de pouvoir, coups bas, trahisons et jalousies, dans une Suisse pas si tranquille que ça.
Trop long.
Et on ne se laisse emporter véritablement qu’à la fin.
(Un peu trop de clichés à mon goût : Corfou, l’éditeur idéal, l’écrivain solitaire, ....)
C’est le premier roman que je lis de cet auteur.
Le titre m’a attiré et l’intrigue me semblait intéressante. Joël Dicker a l’art de découper son récit et connaît les ficelles du polar mais je reste dubitative. Le roman est trop long, je me suis perdue plusieurs fois dans ses sauts de temps donnant une histoire avec trop de rebondissements inutiles. Les personnages sont un peu fades, l’histoire est tirée par les cheveux. Je suis un peu déçue de cette première lecture, j’espère être surprise avec son livre La vérité sur l’affaire Kleber que je viens d’acheter.
Joël Dicker déborde d'imagination dans cette histoire étonnante. J'apprécie toujours autant son style mêle si l'intrigue m'a moins emportée que ses précédents ouvrages.
Ce roman est écrit par un maître du suspense ! On le dévore comme on s’empiffrerait d’un bon dessert. On sait que ça va être bon, mais chaque bouchée est un délice !
La mise en abîme, avec un auteur qui narre l’histoire à la première personne, est savoureuse.
Le roman ouvre bien sûr sur une scène de crime mais on nous en dit très peu pour tout de suite revenir avant le meurtre, dans le quotidien d’un romancier qui n’est pas sans rappeler Joël Dicker lui-même, écrivant un vibrant hommage à son éditeur et ami disparu. C’est lui qui va mener l’enquête, en bonne compagnie, bien sûr, et les allers et retours entre ses avancées et le passé des personnages concernés va maintenir le suspense tout au long des 569 pages que compte le roman.
L’auteur s’amuse, et nous avec : la question n’est pas tant de savoir qui a commis le meurtre que « qui donc a été tué ? ».
C’est bien joué ! Il faut bien sûr adhérer à l'univers genevois de la finance pour parfaitement profiter de l’intrigue. Ce serait ma seule réserve car la plupart des personnages de ce roman évoluent dans cette sphère qui est peut-être trop éloignée de celle du lecteur/de la lectrice pour que se noue un réel attachement.
Un roman qui m'a laissée très partagée : d'un côté une kyrielle de rebondissements, pas toujours crédibles d'ailleurs, dans l'histoire et de multiples fausses pistes dans cette curieuse enquête, qui tiennent le lecteur en haleine ; de l'autre une accumulation de clichés, une écriture sans recherche, et une sensation de "remplissage", comme si l'auteur avait oublier de resserrer son propos pour le rendre plus abouti… Bref ! Une lecture pas désagréable mais quelque peu décevante.
Je sors de cette lecture, très partagée ! J'ai aimé : - qu'une partie de l'histoire se passe à Genève, j'habite à côté donc plutôt chouette de connaître les lieux - l'enquête, bien ficelée, et j'avais envie de connaître le fin mot de l'histoire Je n'ai pas aimé : - les passages autobiographiques de l'auteur, un peu prétentieux à mon goût, dommage car ils n'apportent rien à l'histoire selon moi. Si l'idée de départ est bonne : rendre hommage à son éditeur Bernard de Fallois, décédé il y a peu à l'écriture du roman, la façon de faire ne m'a pas convaincue - les flashbacks à répétition qui m'ont perdue par moments - les personnages trop clichés sur beaucoup de points auxquels je ne suis pas parvenue à m'attacher.
histoire impossible a élucider tellement le livre est bien écrit. Nous nous imaginons un scénario, une fin, mais l'auteur nous entraine dans un délire impossible a deviner. J'ai adorée
Ce n’est pas le meilleur livre de l’auteur mais il est tout de même très agréable à lire. Sans dévoiler le livre, j’ai trouvé certaines intrigues un peu bancales et peu crédibles. Mais ça ne m’empêchera de lire le prochain.
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