« Notre héros se laissait charmer par les douceurs de la prison ». Voilà Fabrice del Dongo installé dans un étrange bonheur tout en haut de la tour Farnèse, mais qui est-il ce héros qui se complaît du silence si étranger à la violence des batailles ? Avons-nous avec Stendhal perdu ce fier personnage des épopées antiques ou des tragédies cornéliennes ? S'ouvre plutôt devant nous une autre perspective, celle d'un héroïsme intérieur, d'un héroïsme du Moi qui n'a pas moins d'exigence d'absolu que l'héroïsme des origines.
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