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Le vertige des falaises

Couverture du livre « Le vertige des falaises » de Gilles Paris aux éditions Plon
  • Date de parution :
  • Editeur : Plon
  • EAN : 9782259252836
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Après le best-seller Autobiographie d'une Courgette, le nouveau roman de Gilles Paris met en scène Marnie, une adolescente effrontée, sa mère Rose et sa grand-mère Olivia, trois femmes au fort caractère. Un jeu de dupes où les masques tombent les uns après les autres. Et si une seule personne... Voir plus

Après le best-seller Autobiographie d'une Courgette, le nouveau roman de Gilles Paris met en scène Marnie, une adolescente effrontée, sa mère Rose et sa grand-mère Olivia, trois femmes au fort caractère. Un jeu de dupes où les masques tombent les uns après les autres. Et si une seule personne détenait tous les secrets d'une famille sans le laisser paraitre ?
Sur une île sauvage et désertée, Marnie, adolescente effrontée et fragile, vit au-dessus des falaises au coeur d'une imposante maison de verre et d'acier avec sa mère Rose et sa grand-mère Olivia, qui règne sur la famille et sur l'île tout entière.
Des plaines aux herbes hautes, des sentiers au bord de mer, la nature se révèle aussi cruelle que les mystères trop longtemps ensevelis.
Et si une seule personne détenait tous les secrets de cette famille et s'en libérait enfin ?

Après son best-seller Autobiographie d'une Courgette, adapté au cinéma par Claude Barras (Ma vie de Courgette), récompensé par deux César et sélectionné aux Oscars, Gilles Paris signe ici un émouvant roman choral qui se lit comme un thriller et se dévore comme une grande saga romanesque.

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Avis (8)

  • Avec Gilles Paris, on a le vertige car on replonge dans une enfance feutrée où même le bruit du vent a sa particularité. On redevient enfant en redécouvrant les petits plaisirs même les plus simples, on sourit et on rit, on goûte aux joies des premiers amours, on se sent pousser des ailes. Mais,...
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    Avec Gilles Paris, on a le vertige car on replonge dans une enfance feutrée où même le bruit du vent a sa particularité. On redevient enfant en redécouvrant les petits plaisirs même les plus simples, on sourit et on rit, on goûte aux joies des premiers amours, on se sent pousser des ailes. Mais, par petites touches comme un puzzle qui se reconstitue peu à peu sous nos yeux, comme des fiches de personnages à retourner pour découvrir des réponses, le roman de Gilles Paris prend vie, se dévoile, nous intrigue, nous heurte tout en émotion.

    Gilles Paris est un peu comme une Colette au masculin. Son histoire respire les couleurs de la vie, les senteurs de la terre, de la mer, elle a le goût de ses personnages qui semblent devant nous avoir une vie à part entière, dans leurs secrets et leurs partages. Ils sont attachants autant qu’ils peuvent nous déranger comme certains tels que Vincy est son vocabulaire un peu exagéré lorsqu’il voit toutes les filles comme des dindes que l’on pourrait qualifier d’écervelées face à sa Marnie incroyable, rebelle et mystérieuse ou encore cette vieille fille de Prudence qui semble ancrée au décor.

    Gilles Paris nous fait rêver par ces bouts d’enfance retrouvée.

    Et, comme un cadeau à ses lecteurs ou un hommage à la personne qui lui est chère dans la vie, il pose le personnage de Manos, témoin à l’intérieur de l’histoire et reflet de la vie de l’auteur lui-même. Cela est touchant.

    Un bijou de roman dans l’écrin de nos mains.

    http://leslecturesdelaeti.eklablog.com/le-vertige-des-falaises-a148719266

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  • J'ai découvert Gilles Paris, comme beaucoup, avec l'excellent Autobiographie d'une courgette, qui a donné naissance au désormais fameux film multi-récompensé Ma vie de Courgette. J'ai continué à le lire et sur son titre L'été des lucioles ai émis des réserves parce que je trouvais que, au début...
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    J'ai découvert Gilles Paris, comme beaucoup, avec l'excellent Autobiographie d'une courgette, qui a donné naissance au désormais fameux film multi-récompensé Ma vie de Courgette. J'ai continué à le lire et sur son titre L'été des lucioles ai émis des réserves parce que je trouvais que, au début du livre au moins, le romancier se répétait. Et puis arrive Le vertige des falaises. Un peu anxieux à l'idée de retomber dans une histoire certes jolie, mais un peu "déjà-lue", j'ouvre ce roman, et là, dès les premiers mots, je sais que ça va coller : "Papa est mort. Je devrais avoir du chagrin, je n'en ai aucun. J'irais bien jouer avec Jane, mais la main baguée de grand-mère Olivia m'emprisonne. Le vent, lui, me décoiffe, et des mèches rousses me rendent aussi aveugles que Jane." (p.9) J'adore cette écriture, phrases courtes qui vont à l'essentiel, qui s'enchaînent rapidement, ne laissant au lecteur que peu de temps pour souffler entre elles. Heureusement, Gilles Paris a choisi d'écrire en très courts chapitres, de deux à trois pages. En fait, ce sont les journaux de Marnie et Olivia qui se croisent, se répondent parfois. Puis ceux d'autres personnages : Géraud le médecin de l'Île, Agatha la fleuriste, Vincy un garçon de l'Île, fils du pharmacien, et quelques autres plus brièvement.

    Tout à fait le genre de livres dont on n'a pas envie de sortir, dont on ne peut pas passer un mot, au risque de rater une information importante, ou tout simplement parce qu'on en n'a pas envie, tant l'écriture est plaisante. J'avoue avoir freiné un peu ma lecture sur la fin, pour profiter des derniers instants, des dernières révélations, encore un peu, pour rester un peu plus longtemps sur l'Île. Cette Île qui est un véritable personnage, d'ailleurs elle est toujours écrite avec une majuscule -ainsi que le Continent, son opposé nettement moins présent. Le ciel est toujours bas, souvent gris, la nature est belle mais un peu austère. Gilles Paris installe un climat tendu, sombre qui, par son décor m'a fait penser à L'étourdissement de Joël Egloff et par ses personnages et l'ambiance générale à Hitchcock ou Agatha Christie entre autres.

    Les personnages sont très travaillés, la forme du journal permet d'aller au plus profond de leurs sentiments, de leurs émotions. Ils se révèlent petit à petit, sans filtre et l'alternance des points de vue permet de les connaître de l'intérieur mais aussi de l'extérieur. Les de Mortemer semblent forts aux yeux des îliens, ils le sont sans doute beaucoup moins lorsqu'ils s'expriment et lorsque ceux qui les côtoient parlent d'eux. Le style résolument rapide et direct permet d'entrer rapidement dans l'intimité de chacun d'eux, de comprendre ce qui les a amenés à Glass et ce qui les y retient. J'aimerais en dire beaucoup plus sur ce roman, mais je ne veux rien dévoiler, ce serait tellement dommage de gâcher tous les rebondissements, la tension présente du début à la fin.

    J'aimerais également dire tous mes remerciements à Gilles Paris qui, une fois sorti de sa zone de confort -ses très beaux romans positifs écrits du point de vue de l'enfant- sort là un véritable roman noir, sombre et dur, pas si loin de ses thèmes de prédilection, mais vu par un autre petit bout de la lorgnette, un véritable coup de cœur pour moi. Il pourra décontenancer les fidèles de l'auteur, auxquels je conseille très fortement la lecture qui devrait les scotcher tout autant que moi.

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  • Deuxième coup de coeur de ce mois, un vrai page turner. Dire que j'aime l'univers et l'écriture de Gilles Paris est bien faible, je suis toujours surprise de voir comment il arrive à se glisser dans la peau d'un enfant, à nous faire ressentir ce qu'il ressent. Il arrive à travers les yeux d'une...
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    Deuxième coup de coeur de ce mois, un vrai page turner. Dire que j'aime l'univers et l'écriture de Gilles Paris est bien faible, je suis toujours surprise de voir comment il arrive à se glisser dans la peau d'un enfant, à nous faire ressentir ce qu'il ressent. Il arrive à travers les yeux d'une enfant de 14 ans, Marnie, au caractère bien trempé et qui semble bien plus lucide que les adultes qui l'entourent , à nous parler de sujets graves. Il est question de non-dits, de secrets de famille, de tromperie, de violence conjugale, de maladie tout cela dans un environnement hostile et froid qu'est l'île de Glass. On suit les aventures d'une famille celle de Marnie. Comme d'habitude avec Gilles Paris on ressort du livre chamboulée, émue et on en redemande, on regrette de l'avoir fini si tôt. C'est très intéressant d'alterner les points de vue entre les protagonistes, on a l'impression d'être la petite souris qui connait les secrets et les pensées de tous. Que de poésie, de puissance et d'émerveillement dans ce roman chorale !

    La famille Mortemer est inquiétante, les hommes sont tous morts tragiquement, les femmes sont taiseuses et cachent bien des secrets. L'alternance de la prise de parole au fil des chapitres permet au lecteur d'en apprendre plus, de dénouer des mystères et surtout de s'attacher à Marnie, Rose et les autres. La fin est tout bonnement à la hauteur du reste et à l'image des falaises : vertigineuse !!!

    Une fois encore j'ai adoré et je vais attendre le prochain avec une grande impatience.

    VERDICT

    Pour qui aimait déjà la plume de l'auteur vous ne serez pas déçu. Quant aux autres précipitez vous en librairie et achetez le. Laissez vous porter par les mots, l'histoire.


    https://revezlivres.wordpress.com/2017/04/21/le-vertige-des-falaises-gilles-paris/

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  • Ayant découvert l’écriture de Gilles Paris avec « Autobiographie d’une courgette », et totalement subjuguée, c’est avec une grande impatience que j’attendais de lire son tout dernier roman, « Le vertige des falaises ».
    Le vertige, c’est ce que l’on ressent en posant le pied sur l’Ile,...
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    Ayant découvert l’écriture de Gilles Paris avec « Autobiographie d’une courgette », et totalement subjuguée, c’est avec une grande impatience que j’attendais de lire son tout dernier roman, « Le vertige des falaises ».
    Le vertige, c’est ce que l’on ressent en posant le pied sur l’Ile, personnage à part entière du récit, tout comme l’est Glass, la maison de verre et d’acier, imaginée par feu Aristide, le patriarche du clan Mortemer.
    Trois générations de femmes vivent dans cet endroit étrange, où l’on s’éclaire souvent à la bougie, où le Continent semble être à des années-lumière, où l’on pourrait s’attendre à voir surgir, dans la pénombre, le fantôme d’Agatha Christie (auteur qui m’est chère)…
    Sous forme chorale, Gilles Paris donne la parole à chacun des personnages, éclairant peu à peu ainsi la pénombre et levant le voile sur les secrets bien enfouis que chacun détient.
    Olivia, la grand-mère (« L’arbre centenaire sur qui tous les orages se sont abattus, sans arracher la moindre écorce ») , et Marnie, sa petite-fille (« J’ai 14 et j’ai 100 ans… Je suis le vertige des falaises ») sont la première et la dernière génération vivantes de Mortemer.
    Les hommes n’ont que peu de place dans ce huis-clos aux accents hitchockiens. Ou alors une place détestable. Je pense ici à Aristide et à Luc, mari et fils d’Olivia, êtres violents et dénués de scrupules.
    Les personnages sont décortiqués, leurs ambivalences taillées au scalpel. On entend la voix d’Olivia, celle de Prudence, qui m’a beaucoup fait penser à Nelly, la gouvernante dans le merveilleux « Rebecca » de Daphné du Maurier et le film éponyme du grand Alfred. On frémit avec Marnie , aussi attendrissante que sombre. On sent le vent cingler les falaises. On souffre avec Rose, et son crâne chauve, à cause du cancer qui la ronge. On tombe forcément sous le charme de Jane, l’amie aveugle de Marnie.
    C’est avec un délicieux effroi qu’on se laisse porter au fil des pages. Paradoxalement, les ténèbres côtoient la lumière, tout comme le désespoir enlace l’amour.
    Les thèmes abordés le sont avec une immense pudeur et une grande délicatesse. Qu’il s’agisse de la violence faite aux femmes, de la filiation, de la maladie et du deuil, de la résilience, des relations intergénérationnelles, il fallait tout le talent de Gilles Paris pour ne pas verser dans la caricature, et nous offrir cette pépite, dévorée en un rien de temps.
    Un immense coup de cœur, donc, pour lequel je remercie vivement les Editions Plon et bien évidemment l’auteur, dont je vais m’empresser de découvrir les autres merveilles.
    «Personne n’a osé me secouer de peur que tout se brise à l’intérieur. Une fillette fragile, tout en verre »

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  • Des personnages très travaillés, une dimension inspirée d'Hitchcock. Gilles Paris revient avec son thème de predilection sur l'enfance perturbée mais construit ici un ensemble où l'imagination de Marnie nous entraîne hors de la simple narration des faits.

    Des personnages très travaillés, une dimension inspirée d'Hitchcock. Gilles Paris revient avec son thème de predilection sur l'enfance perturbée mais construit ici un ensemble où l'imagination de Marnie nous entraîne hors de la simple narration des faits.

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  • LE VERTIGE DES FALAISES DE L’AUTEUR GILLES PARIS 245 PAGES EDITIONS PLON SORTIE 6 AVRIL 2017

    COUP DE CŒUR
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    LE VERTIGE DES FALAISES DE L’AUTEUR GILLES PARIS 245 PAGES EDITIONS PLON SORTIE 6 AVRIL 2017

    COUP DE CŒUR <3

    Résumé :

    Sur une île sauvage et désertée, Marnie, adolescente effrontée et fragile, vit au-dessus des falaises au cœur d'une imposante maison de verre et d'acier avec sa mère Rose et sa grand-mère Olivia, qui règne sur la famille et sur l'île tout entière.
    Des plaines aux herbes hautes, des sentiers au bord de mer, la nature se révèle aussi cruelle que les mystères trop longtemps ensevelis.
    Et si une seule personne détenait tous les secrets de cette famille et s'en libérait enfin ?

    Après son best-seller Autobiographie d'une Courgette, adapté au cinéma par Claude Barras (Ma vie de Courgette), récompensé par deux César et sélectionné aux Oscars, Gilles Paris signe ici un émouvant roman choral qui se lit comme un thriller et se dévore comme une grande saga romanesque.

    Mon avis :

    L’auteur pour son 5ème roman s’est mis dans la peau d’une adolescente de quatorze ans « Marnie ». Etant donné que j’ai lu tous ses livres, je peux dire que celui-ci diffère de tous les autres. Il nous embarque dans une intrigue du genre « Agatha Christie ». Il ne ressemble aucunement à ses histoires habituelles et c’est astucieux ! Ne pas lasser le lecteur ! Et c’est gagné ! Ne cherchez pas le même humour que dans les autres récits car nous entrons dans un univers plus du style « enquête policière » sauf que nous n’avons pas d’inspecteur ou de commissaire… Vous saurez pourquoi en le lisant !

    Ce livre qui a été lu d’une traite par un après-midi pluvieux m’a passionné. J’ai suivi pas à pas Marnie. Gilles, pourquoi ce prénom « Marnie » car peu courant ? J’ai fait sa connaissance ainsi que de la grand-mère, la mère, Prudence la domestique et Jane, la meilleure amie…

    Ne vous inquiétez pas, vous trouverez des hommes… Et quels hommes !

    Des secrets en veux-tu, en voilà… Des mystères qui s’éclaircissent à la fin… Des rebondissements… On ne s’ennuie jamais !

    Gilles a toujours cette pointe poétique avec la description de paysages qui fait que nous sommes littéralement absorbés dans cette lecture. Personnellement, je me suis mise dans la peau de tous les personnages, et pour ma part, c’est une réussite lorsque j’y arrive. La preuve… Le roman est passionnant.

    Je ne veux rien dévoiler de plus car cette aventure n’en serait plus une !

    J’espère que vous aurez comme moi des vertiges… Mais, je sais que si je tombe des falaises « Marnie » ou « Jane » me sauveront et pourquoi pas « Courgette » ;) … Au pire, je m’envolerai comme un papillon… Merci pour les clins d’œil, Gilles, j’ai adoré.

    Donc, GO en librairie ! Vous n’aurez aucun regret ! C’est un ordre !

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  • Dans ce nouveau roman, Gilles Paris nous plonge dans un univers totalement différent de ses précédents livres.

    L’histoire se déroule sur l’île, jamais nommée, proche du Continent dont nous ignorerons le nom. Plus beaucoup d’habitants sur cette île.

    Près des falaises se dresse une maison...
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    Dans ce nouveau roman, Gilles Paris nous plonge dans un univers totalement différent de ses précédents livres.

    L’histoire se déroule sur l’île, jamais nommée, proche du Continent dont nous ignorerons le nom. Plus beaucoup d’habitants sur cette île.

    Près des falaises se dresse une maison d’architecte toute de verre et d’acier où vivent Olivia, la grand mère et son aide Prudence ; la mère atteinte d’un cancer en phase terminale Rose ; et la jeune Marnie, rousse et pleine de vie.

    Des personnages croisent la route de chacune, tantôt vrais, tantôt imaginés.

    Un peu de suspens entoure la mort des deux hommes de la maison.

    J’ai aimé les différentes voix s’exprimant dans le roman, donnant un éclairage différent aux différents drames que vit la famille. Et découvrir que Marnie était toujours au courant de tout.

    Et malgré le drame qu’a vécu jour après jour Olivia, perce dans ces pages un hymne à l’amour familial sous toutes ses formes.

    Merci, Monsieur Gilles Paris. Après Courgette, j’ai aimé suivre Marnie et sa famille le temps de ma lecture.

    L’image que je retiendrai :

    Celle de Marnie en bord de falaises, cherchant à défier les éléments.

    http://alexmotamots.fr/le-vertige-des-falaises-gilles-paris/

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  • Lorsque je choisis un livre c’est que la couverture m’attire particulièrement ou alors le synopsis m’a tapé dans l’œil. Normal vous me direz. Pour ce roman, ces critères n’ont pas échappés mais en revanche rien n’en est ressorti à la finale.

    J’ai eu l’impression de me traîner dans cette...
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    Lorsque je choisis un livre c’est que la couverture m’attire particulièrement ou alors le synopsis m’a tapé dans l’œil. Normal vous me direz. Pour ce roman, ces critères n’ont pas échappés mais en revanche rien n’en est ressorti à la finale.

    J’ai eu l’impression de me traîner dans cette lecture. Peut-être es-ce du au fait qu’a chaque chapitre on parle d’un personnage différent. Peut-être es-ce la façon dont l’histoire est construite.
    Je pensais passer un bon moment avec cette lecture et finalement je me suis littéralement ennuyé.
    Il est clair qu’on ne peut pas aimer tout les livres.
    Ce n’est pas un livre que je retiendrais.

    Lorsqu’on construit un chapitre sur un personnage puis qu’on passe à un autre, j’ai vite fait de me perdre et au final je perds vite gout à la lecture, même si je fais l’effort d’aller jusqu’au bout, pensant que ça s’améliorera avec les pages qui défilent. Non vraiment la, je suis face à une vrai déception.

    Bien entendu il ne faut pas faire une généralité de ce que moi, j’ai ressenti. Peut-être que toi lecteur tu sera emballé par cette lecture.

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