Le Prix Orange du Livre marque cette année sa (quasi) première décennie
Ce livre présente la particularité de reproduire mot pour mot la première page du précédent roman de Jacques Gélat intitulé " Le Traducteur " (publié chez le même éditeur). Pourtant, à partir de cette situation parfaitement identique, tout devient différent. À qui la faute ? Que s'est-il passé pour que, à partir du même point virgule, inconsciemment transformé en virgule, le monde bascule vers autre chose ? Tours et détours de l'amour, artifices et vérité, la passion amoureuse s'amuse ici de notre traducteur qui, de déboires en délices, connaîtra un destin auquel même son maître Cupidon n'aurait pas pensé...
Le Prix Orange du Livre marque cette année sa (quasi) première décennie
Les 4 titres, lauréats du Prix Orange du livre depuis sa création en 2009.
Un très beau roman d'amour. Jacques Gélat semble avoir cerné le bonheur parfois douloureux qu'implique toute création littéraire.
Voilà six ans que je lisais très peu. Je suis tombé par hasard sur ce site et je me suis pris au jeu. A posteriori c'est certainement la meilleure chose qui me soit arrivée récemment !
Ce livre (le traducteur amoureux)
a en lui la fraicheur et l'humour qui manquaient à la littérature contemporaine quand je l'ai quitté.
Le dénouement est un régal et surtout il traite de l'amour sans tomber dans le niais ou dans un énième recueil de clichés.
Merci de m'avoir redonné goût à la lecture.
n'hésitez pas à vous lancer, même les petits lecteurs.
je crois bien que je vais le lire..... vos critiques à tous m'en donnent l'envie...merci
On ne s'ennuie pas une seconde, on ne sent pas le temps passer: si tu lis la première page on est immédiatement envouté et on ne décroche pas avant de l'avoir terminé
à quand le traducteur amoureux numéro deux?
bravo
Ghassan
Merci Eve, vous me donnez vraiment l'envie de lire Le Traducteur amoureux
Une réflexion très fine sur l'ambiguïté amoureuse. Son rejet autant que son désir sont mis sans cesse en avant à travers une histoire mené de main de maître : on ne s'ennuie pas une seconde. C'est une prouesse assez rare de nos jours que d'être emporté par un roman jusqu'à la fin. Fin, je dois le dire, assez sidérante. Vraiment, un coup de maître
Je parlais bien entendu du traducteur amoureux.. je n'ai pas accroché sur Chouquette..
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