Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
En mai 2014, alors patron de l'UMP, promis à toutes les réussites, Jean-Francois Copé décide de quitter la scène politique, à la suite de l'affaire Bygmalion dans laquelle il ne cessera de proclamer son innocence.
Du jour au lendemain, l'ancien ministre du Budget, l'homme pressé qu'on caricature en arrogant prêt à tout, perd tout. Ou presque tout. Car il conserve la liberté de se taire, de voyager en France et à l'étranger, de rencontrer chacun, à Meaux, la ville dont il est maire, comme dans tout le pays. Il rejoint pendant dix-huit mois la France des « boucs émissaires » et des « pointés du doigt », il prend le temps de redevenir lui-même, et pourquoi le cacher ?, il se bonifie. L'arrogant découvre la bienveillance. Le politique à grands pas arpente avec pragmatisme le territoire. Il s'avoue en empathie avec ceux qui disent : « On ne vous croit plus ! » Parmi les Français, perdant toute position de surplomb, il donnerait raison à la belle formule du moraliste Chamfort : « Il faut que le coeur se brise ou se bronze. » À l'écoute du malaise de nos compatriotes, il en dresse ici les symptômes, puis le diagnostic, et enfin nous soumet des remèdes précis et une nouvelle méthode : réformer par ordonnances. Fermeté et bienveillance, sécurité et pragmatisme, liberté, ordre et progrès, « JFC » a changé. Le voici qui reprend la parole et scrute avec une acuité particulière le présent de notre pays pour proposer sans tabou les voies de sa renaissance.
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