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Voilà 1 an que Sandro a perdu sa femme, décédée dans la jungle amazonnienne, et il ne sent remet pas. Rongé par la haine de ceux qui ont provoqué sa mort, une tribu d’indigènes, il décide de se venger.
Cette tribu vit dans une parfaite harmonie, aucun conflit, aucun bien personnel, tout est partage, amour et bonheur. Leur vision de la vie est bien éloignée de la nôtre. Pour mener à bien sa vengeance, Sandro a décidé de rompre l’équilibre de ces indiens en brisant leur bonheur et leur joie de vivre et ce de manière insidieuse en instillant son venin petit à petit...
***
J’ai de loin préféré « l’homme qui voulait être heureux » et « les dieux voyagent toujours incognito » mais ce livre se laisse lire volontiers.
J’ai été curieuse de voir comment Sandro allait s’y prendre pour briser l’harmonie parfaite de ce peuple indigène qui a une vision de la vie bien éloignée de la nôtre, « êtres civilisés » que nous sommes.
De manière indirecte, Laurent Gounelle critique les travers de notre société et ce que cela engendre chez les hommes qui génèrent leurs propres malheurs. Intéressant.
"On ne reviens jamais de la selva amazonica".
Un professeur Sandro demande 6 mois de congés sans solde au président de l'université de New York. Il a des choses à régler. Il a vécu une épreuve difficile.
Il se sent submergé par un sentiment de colère, de haine, de vengeance.
Il a besoin de ces 6 mois mais son patron lui refuse le congé.
C'est décidé il part quand même.
Il ne sait pas ce qui l'attend là-bas.
Mais il a un projet.
Pas vraiment de surprise dans ce roman, qui je trouve est trop manichéen, un peu simpliste et un peu trop donneur de leçon.
Lorsqu'un prof de philo décide de nuire à un peuple d'autochtones coupable de la mort de sa femme il charge Krakus,son guide de leur inculquer toutes les mauvaises habitudes qu'ont les occidentaux pour les faire souffrir comme il souffre de l'absence de sa femme.
Amener dans leur vie des notions qu'ils ne connaissaient pas, oublier l'importance de la nature qui les entoure, être envieux, travailler par appât du gain plutôt que par besoin.... ce livre nous montre qu'il est essentiel de voir ce qui nous entoure, de profiter de chaque petit bonheur, de la beauté d'une goutte d'eau et de se contenter de peu....
Il a vraiment été dur de dire si j'ai aimé ce livre les premiers jours après ma lecture. Mais une chose était sûr, j'étais touchée.
Et oui maintenant je peux dire que je l'ai aimé car il m'a fair ouvrir les yeux sur beaucoup de chose, notre société, notre regard Et nos craintes sur ce que l'on ne connaît pas...
A lire !
Critique de la société faite a l'envers, excellent! La façon dont Gounelle explique des principes de psychologie, avec une simplicité désarmante est pour moi une prouesse de psychopédagogie! On y apprend bien des choses en psychologie, si bien dans ce livre que avec les livres de cet auteur en général! Ne me croyez pas sur parole, allez voir ça par vous même! Ça se lit comme des petits pains!
J'ai adoré! Le monde des indiens d'Amazonie reste fascinant, le monde dématérialisé demeure une inconnue que l'on est de nos jours poussé à ignorer tant notre vie est régie par la vitesse, l'argent, le consumérisme. Même si le dénouement n'apporte guère de surprise, j'adhère complètement!
J'avais beaucoup aimé les précédents. J'ai trouvé celui-ci encore plus dérangeant. Une réflexion intelligente et avisée sur notre vie moderne et ses travers. A lire et relire !
Ce roman de Laurent Gounelle, aborde de façon légère et de manière philosophique version « grand public » les bases de notre civilisation. De l’éducation qui pointe du doigt les erreurs mais ne félicite ou ne conforte pas les élèves, aux nouvelles technologies qui isolent en nous donnant l’illusion d’être au sein d’une communauté vivante. Plus on avance dans ce roman plus on se dit qu’on est bien loin de notre nature première.
Sandro, le personnage principal, arrive au sein d’une communauté d’indigène afin de se venger de la mort de sa femme. Sa vengeance est simple, détruire et changer ce peuple à la base de leur fondation, de leur nature. Petit à petit, il va réussir à instaurer la peur, la jalousie, la fierté, l’envie ….
Comme tous les romans de ce monsieur, il nous fait réfléchir. Très abordable pour tout novice en philo. Une lecture enrichissante sur le plan humain !
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