Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Le Monument de la Réformation à Genève présente comme élément central quatre statues : Guillaume Farel, Jean Calvin, Théodore de Bèze, John Knox. Tout le monde connaît le nom de Calvin et de son successeur Bèze ; tous - du moins en pays anglo-saxons - savent identifier le grand presbytérien qu´était Knox ; mais Guillaume Farel ? Il a la réputation de n´être ni grand théologien ni grand écrivain. C´est Farel lui-même qui déclare que son plus important ouvrage, le Sommaire et briefve declaration (1529) a été rendu superflu par l´Institution de Calvin ; il ne maniait pas le latin avec facilité, et son français brouillé et complexe lui a valu bien des critiques. Pourquoi figure-t-il - un peu en retrait, il est vrai - à côté de ses contemporains si célèbres ?
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