Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Un groupe d'hommes s'arrache à la noirceur de l'océan et surgit dans la fulmination des couleurs, derrière un Noir sémaphore : c'est Le Radeau de la Méduse, le tableau de Géricault.
Cet homme, l'esclave Alpha, plus grand que les autres sur la toile, fait signe, tendu vers le ciel. De tous les personnages, il est celui qui porte la responsabilité du sens. Celui qui sauve sur un radeau ceux qui l'ont opprimé à bord de la frégate naufragée la Méduse. Héros du roman, il est le symbole de l'espérance collective et de la délivrance. Géricault l'a voulu tel pour protester contre l'esclavage colonial.
Martine Le Coz en restitue avec foi toute l'humanité.
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