Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Affrontés à une époque qu'ils pensent comme celle de la plus grande détresse, parce qu'elle rend plus incertaine que jamais toute possibilité d'offrande, gabriel attias et gaston-paul effa ménagent la possibilité de se rencontrer, de s'ouvrir à leurs traditions réciproques.
Comment présenter le midrash, le talmud, maïmonide, le zohar à cet autre venu d'ailleurs ? comment rendre audibles les mythes africains et l'univers animiste à un monothéiste ? tous deux nous offrent cette fraîcheur du commencement dans cette langue française que gabriel attias apprit dans son maroc natal, l'accueillant comme l'hôte de passage, et que gaston-paul effa habite poétiquement. insaisissable point de rencontre entre la tradition du livre et celle de l'oralité, cette double offrande veut libérer les peuples de la chaîne du mépris.
Ce qui se donne à entendre dans ce livre n'est presque rien ; mais c'est comme une très petite porte par laquelle il faut passer, au-delà de laquelle rien ne prouve que l'espace ne soit pas aussi grand qu'on l'a rêvé.
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