Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
De la saga " James Bond " à " Arrête-moi si tu peux " (Steven Spielberg), quel spectateur n'a pas conservé, dans un coin de sa mémoire, le souvenir d'un générique particulièrement réussi ? Or cet élément cinématographique important est aujourd'hui encore rarement étudié.
Placé au début et / ou à la fin d'un film, fragment audiovisuel métissé parsemé de signes et d'indices, il est porteur d'informations concrètes (titre, noms des auteurs, des acteurs, des techniciens. ). Mais, au-delà, il crée généralement des attentes, propose parfois des fausses pistes, ouvre des perspectives inédites. Le générique de cinéma a aussi une histoire : il a en effet connu des mutations profondes depuis un siècle et progressivement acquis des fonctions précises sur le plan audiovisuel, économique, technique, juridique et artistique.
C'est cette histoire, cette polysémie, ces fonctions que se propose d'explorer Alexandre Tylski. Cet ouvrage de synthèse comporte une partie historique retraçant l'évolution des génériques, des débuts du cinématographe à nos jours. La partie théorique propose quant à elle une réflexion de fond sur le rôle joué par le générique de film, tout en fournissant au lecteur des références bibliographiques solides.
Ce manuel s'adresse à tous les élèves, étudiants et enseignants (option " cinéma " des lycées, universités, écoles spécialisées) qui cherchent à mieux comprendre l'histoire du cinéma et à emprunter des pistes d'analyse nouvelles. Il concerne aussi tous les cinéphiles attentifs à une composante familière du paysage cinématographique, pourtant souvent négligée par les spécialistes.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron