Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Le Général Dourakine paraît en 1863, juste après L?Auberge de l?Ange gardien. Cette suite donne au personnage du général russe, déjà bien mis en scène dans l?Auberge, toute son ampleur. La comtesse nous raconte en fait ses souvenirs, déjà anciens puisqu?elle est arrivée en France en 1817.
Dourak veut dire sot en russe ; le général le sait mais cependant avec toute son âme russe, faite d?excès et de contrastes, il apprend à s?adoucir au contact des Français. Le général n?est pas dupe de lui-même, il est sot mais a l?intelligence de savoir s?entourer et d?écouter les conseils avisés de Derigny.
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