Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Quand ses ennemis s'en prennent aux deux personnes les plus chères à son coeur -le Fou, son ami de toujours, et Abeille, sa propre fille -, Fitz revêt le costume d'assassin qu'il avait pourtant juré d'abandonner. Mais, à la différence d'autrefois, sa notoriété à la cour l'empêche d'agir dans l'ombre. Il devra pourtant trouver un moyen de mener cette mission à bien, peut-être la dernière, sans doute la plus importante de toutes.
Ah, elle a l’art de délayer Robin Hobb !
450 pages et il ne se passe pas grand-chose.
Dans le tome précédent, on avait quitté Abeille qui venait de se faire enlever.
A la fin de celui-ci, rien de bien nouveau, on n sait toujours pas ce qu’elle est devenue.
Avoir attendu tout ce temps pour ça. Combien de tomes encore avant de le savoir ?
Heureusement qu’elle nous a rendu Fitz tellement attachant, même à l’aube de la vieillesse, sinon je crois que je ne terminerais pas la série. Bon, je le ferai quand même, je voudrais bien savoir où est passée Abeille
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En fait, l'éditeur français fragmente les tomes originaux, d'où des ruptures narratives qui laissent carrément sur la fin en français... A mon avis.