Le Fléau a terminé son oeuvre :
éradiquer, entre autres, 86% de la population américaine. Les survivants, immunisés au virus, errent désormais sur le continent.
Certains, comme Stu Redman, ne voient pas cette catastrophe comme une fin, mais comme un interlude. Quelque chose approche. Randall Flagg, quant à lui, continue de recruter parmi les âmes en peine encore en vie pour rassembler ses fidèles.
Nous continuons avec Larry qui essaye de quitter la ville avec sa petite amie, mais tout ne se déroule pas systématiquement comme il le voudrait. Mais au moins il est vivant. Cet album pose des bases solides. Les groupes sont en train de se former et surtout les rêves commencent à prendre une forme prophétique avec l’apparition d’un personnage emblématique, Mère Abigail.
Un récit encore très bien construit, qui prend le temps de se bâtir tout comme le roman. L’adaptation reste très fidèle. Le graphisme est fidèle aux albums précédents. Je ne suis pas fan de ce graphisme mais au moins l’équipe reste identique et le dessin reste donc le même.
Un album très intéressant, à suivre donc…
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