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Le flamenco dans le texte ; grand chant et poésie populaire

Couverture du livre « Le flamenco dans le texte ; grand chant et poésie populaire » de Mario Bois aux éditions Atlantica
  • Date de parution :
  • Editeur : Atlantica
  • EAN : 9782758802617
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

D'où vient ce grand chant flamenco ? Comment a-t-il pu traverser les siècles jusqu'à nous sans aucun écrit ? Cette impasse de réponses renforce implicitement sa toute puissance. Venant du sud de l'Espagne, cette musique semble s'être nourrie au fil du temps de chansons orientales gréco-persanes,... Voir plus

D'où vient ce grand chant flamenco ? Comment a-t-il pu traverser les siècles jusqu'à nous sans aucun écrit ? Cette impasse de réponses renforce implicitement sa toute puissance. Venant du sud de l'Espagne, cette musique semble s'être nourrie au fil du temps de chansons orientales gréco-persanes, de chants gitans. Toutefois, même si son origine est difficile à cerner avec exactitude, l'auteur nous propose d'en explorer ici quelques pistes. Il nous donne surtout à découvrir les coplas, ces poèmes qui chantent l'amour en parlant de sentiments comme la déception, la jalousie, la tristesse ou la joie. Ces chants magnifiques de beauté et de lyrisme sont répertoriés par thèmes, traduits en français et donnés dans leur langue d'origine.
Une approche inédite de la poésie populaire chantée en Andalousie.
« Dans la nuit andalouse, voilà que la fête s'allume et puis s'embrase. Alors, le chant s'enferme dans le vieux cadre rigoureux des différents cantes, la guitare se met à caracoler, galoper, bondir et son jeu est d'une infaillible technique ; la danse a beau se révéler avec force et spontanément, elle obéit à des règles séculaires extrêmement précises. Par quel mystère ? Le peuple gitano andalou à tout moment le célèbre mais est incapable de l'expliquer.
Il ne sait pas dire, il fait. » Mario Bois a fait à Paris toute sa carrière d'éditeur de musique. Chevalier des Arts et des Lettres, il fut président du Conseil international de la danse auprès de l'Unesco de 1994 à 1997.
« Je rêvais que je rêvais.
Ceux qui sont tristes.
Ne rêvent pas tout simplement. ».
« Tous mes malheurs.
Je les raconterai à la terre.
Quand je serai couché avec elle. ».
« Je m'accroche aux racines.
Qui sont sous la terre.
Car au-dessus.
Le vent emporte tout. ».

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