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Enfin un roman qui ne vous plombe pas le moral, vous fait sourire [...] La réussite est totale, le plaisir aussi [...] BRAVO ! Gérard Collard, La Griffe noirePour réparer l'injustice, a-t-on le droit à l'imposture ?Jeune, intelligente, Nadia a toutes les compétences pour réussir. Il ne lui manque qu'un diplôme pour en attester et lui ouvrir les portes d'un avenir meilleur. Conquête pour certains, droit inné pour d'autres, ce sésame agit ici comme le révélateur d'un vaste mensonge érigé en système. Guillaume, prof de banlieue désabusé, va lui en offrir les clés. Mais si le mérite se monnaie au même titre que le sexe, le pouvoir et les idéaux, quel est le prix à payer?Amaury Barthet orchestre le récit d'une revanche à double tranchant, mêlant critique sociale et fable philosophique. Un premier roman dérangeant, cruel et drôle qui dénonce les faux-semblants de la société.Sélectionné pour le Prix des Deux Magots.Sélectionné pour le Prix Stanislas. [Un roman] d'une redoutable efficacité. Lire-Magazine littéraire
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Toujours plus de conseils de lecture hors des sentiers battus !
prof d histoire et géo, guillaume reprend sa vie en main en larguant sa copine, une harpie et s inscrit dans une salle de sport. Bonne idee, , il y rencontre nadia, jolie jeune femme qui peine a se faire une place sur le marché du travail en rasion de ses oorigines
guillaume décide de l aider en lui fabriquant un faux dipome d HEC et en la faisant pistonner par son frer. Le résultat dépasses ses esperance. Nadia décroche un excellent poste et se voit meme propulsée au gouvernement. Tres drole , ce prmier roman rythmé interroge sur de multiples questions: la valeur des diplomes, le detreminisme social, les freins rencontrés par ceux qui n ont pas la bonne couleur. Amaury barthet tend à la société francaise un miroir grossissant qui ne lui renvoie pas forcement une image reluisante
"le diplôme" était un des romans de la rentrée littéraire que j'attendais le plus, mon sentiment était aiguisé par une presse dithyrambique, et un réseau élogieux. Quelle ne fût pas ma déception ! Non pas que le roman soit mauvais en soi, c'est tout de même une fiction agréable, qui se lit facilement, mais j'ai surtout eu le sentiment d'un beau gâchis. En effet le thème choisi était vraiment prometteur, avec son accroche « la place du diplôme dans notre société (française) », finalement le traitement de ce sujet est fait de façon vraiment grossière (pas dans le sens « gros mots »), bourré de clichés et surtout traité avec excès, la fiction perdant ainsi toute crédibilité. En bref, cela ne nous amène aucune réflexion, et cela n'a pas non plus pour objectif de nous « faire nous évader ».
Pour moi, ce livre n'a pas répondu à la promesse de départ. J'espérais faire la découverte d'un prodige, avec ce nouvel auteur, j'ai eu le sentiment de lire un roman de gare…
Le diplôme
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Un individu se définit-il par son diplôme ou par ses compétences ? Sa réussite est-elle conditionnée à l'obtention de ce précieux sésame ? Et peut-on bâtir sa carrière sur une imposture ?
Ce sont les questions que se pose Guillaume, prof d'histoire géo dans un collège de banlieue. Il peine à joindre les deux bouts, vit chichement dans un appart minuscule, alors que son frère Henri, passé par les classes prépa avant d'intégrer HEC arbore tous les attributs de la réussite sociale.
Alors, quand il rencontre Nadia, une brillante jeune femme issue de l'immigration, il n'en revient pas que ses modestes études en fac ne lui ait ouvert d'autres portes que celles de vendeuse chez Zara. De quoi faire germer en lui l'idée d'un coup de bluff audacieux. En quelques clics, il lui invente un parcours prestigieux et lui édite un diplôme d'école de commerce qui lui ouvrira les portes du succés.
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Un postulat alléchant et un goût certain pour les satires sociales ont mis ce livre sur ma route, mais hélas il n'a pas réussi à me convaincre. Et pourtant, j'aurais tellement aimé qu'il me plaise... Il se lit facilement, il est plaisant mais le roman annoncé comme dérangeant est surtout bourré de clichés : les profs sont fauchés et mal fagotés, les riches sont pédants et désagréables, les facs sont forcément minables et les prépas élitistes. Quant aux escorts, elles sont blondes et féministes et les politiques sans scrupules et incompétents. Cela fait quand même beaucoup et j'aurais aimé plus de nuance. C'est une fable satirique d'accord, mais j'aurais aimé y trouver plus de réalisme. Car comment imaginer un seul instant que lon puisse être embauché à un poste d'encadrement supérieur, dans un domaine où l'on est novice, en bachotant un week-end sur internet ?
Je reconnais des réflexions intéressantes sur les dérives du système scolaire, sur l'ascenseur social et sur la méritocratie, mais elles sont noyées sous trop d'invraisemblances pour m'avoir marquée durablement. C'est dommage car il y a fort à dire sur le monde du travail, et sur la place prédominante accordée à ces fameux diplômes.
Une lecture distrayante, qui à mon avis ferait un bon film ou un bon téléfilm.
Et vous, qu'en avez-vous pensé ?
J’ai lu et adoré :
LE DIPLÔME de Amaury Barthet
@editionsalbinmichel .
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« Pour réparer l’injustice,
a-t-on le droit à l’imposture ?… »
( Vous avez deux heures … )
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Guillaume, prof d’histoire géo en banlieue, douze années de couple qui partent en poussière. Enfin… comme un droit au bonheur enfin accordé .
Nadia, jeune, intelligente et vendeuse de fringues à Zara. Une licence d’éco en poche et des perspectives d’avenir peu enthousiastes .
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[ son diplôme agissait comme un plafond de verre sur ses ambitions professionnelles. Pour elle, l’histoire était déjà écrite, elle enchaînerait des jobs abrutissants pendant 172 trimestres pour finalement toucher une retraite équivalente au smic de la Roumanie …]
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La rencontre . La difficulté d’être soi . Le déclic . La belle idée . Le gros mensonge . Le faux diplôme . L’espoir d’une nouvelle vie . Les portes qui s’ouvrent . Le sésame . Coeurs qui s’emballent . Les injustices réparées . Les illusions perdues . La belle vie ?…
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Un premier roman surprenant, cynique, subtil, audacieux et cruel à la fois . Comme une revanche sur la vie . Un portrait qui cingle tellement bien notre société de fou . Une bien belle découverte, une belle intrigue qui m’a tenu en haleine jusqu’à la fin et quelle fin ! Même si Guillaume est un connard, il faut le dire quand même !
Bref un auteur à découvrir et à suivre . Merci Amaury Barthet pour ce bon moment .
Lorsque Guillaume, professeur d’histoire-géographie bourgeois et désabusé, rencontre Nadia, fille d’immigrés ambitieuse et intelligente, l’alchimie se crée. Très vite, elle se confie sur son parcours scolaire bafoué par l’égalité des chances. Aussi brillante soit-elle, il lui manque un diplôme prestigieux. Lui s’indigne, il veut réparer l’injustice sociale et l’aider à s’élever. Il est impensable qu’un simple bout de papier soit un obstacle à la réussite de Nadia.
En véritable critique sociale, ce livre aborde les faux-semblants et les débats stériles de notre société. L'écriture est ouvertement satirique, définitivement politique et permet de se questionner. Finalement, doit-on ou non laisser les diplômes être notre unique gage d'intelligence, ce qui nous définit et nous légitime aux yeux de tous ?
@lecturesauhasard
Que dire ?
J'ai dévoré ce livre en seulement quelques heures.
Est-ce que je recommenderais ce bouquin à mes proches ? Je suis partagé..
Guillaume est un gros salaud.. En revanche Nadia, un diamant :)
Un charmant pied de nez à la doxa qui n’a d’yeux que pour le prestige du diplôme pour attribuer presque aveuglément à son titulaire un emploi bien rémunéré. Beaucoup d’humour, une ficelle volontairement un peu grosse pour pointer des comportements sociétaux discutables, dans une histoire jubilatoire qui fera à coup sûr passer un agréable moment au lecteur.
J’ai adoré ce roman de la rentrée littéraire !
Nous découvrons Guillaume, prof de banlieue, qui fait la rencontre de Nadia, vendeuse chez Zara. Cette jeune fille est aussi belle qu’intelligente. Ils apprennent à se connaître et très vite Guillaume s’indigne qu’une jeune fille aussi cultivée que Nadia n’accède pas à un poste « à sa hauteur » sous prétexte qu’elle n’a pas le diplôme approprié.
C’est à ce moment-là, qu’il a une idée « brillante », et s’il tentait de falsifier un diplôme pour lui ouvrir les portes d’un futur plus prestigieux ?
On sait tous, que quand on est pris dans l’engrenage d’un mensonge, il est difficile de s’en sortir indemne.
Et ces deux tourtereaux vont être pris au piège de cette imposture aussi excitante que dangereuse.
Un roman que j’ai dévoré en moins de 24h tellement il était impossible à lâcher.
J’ai été complétement captivée par les thèmes abordés : la méritocratie, l’importance qu’occupe l’obtention des diplômes lors des recrutements, l’analyse d’un système défaillant et parfois absurde, les travers de l’être humain, les dessous du monde politique …
C’est percutant, pertinent, saisissant mais aussi et surtout délicieusement piquant.
Un premier roman brillant qui m’a complétement conquise. Un auteur que je vais suivre assidûment.
Il y a certains passages qui peuvent être assez crus mais qui ne m’ont (personnellement) absolument pas dérangés.
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