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« Pourquoi tu t'es précipité comme ça ? Tu pouvais pas attendre ? » Ce lundi 19 novembre, tôt le matin, Nicolas Sarkozy engueule Jean-François Copé au téléphone. L'ancien Président a vu Copé s'autoproclamer la veille à la télévision sans même attendre la proclamation officielle des résultats par la commission ad hoc. Il est consterné. Mais il ne faut pas s'y tromper. Sarkozy n'est pas vraiment choqué par cette entorse à des principes démocratiques élémentaires. Ce qui le gêne, c'est le manque de finesse tactique de Copé. Il est élu et trouve le moyen de ternir l'éclat de sa victoire.
A ce moment-là, Sarkozy n'a en effet aucun doute sur les résultats. Cette victoire, l'ancien Président l'a souhaitée. Il y a même aidé, discrètement mais sûrement (avec Balkany, Jean Sarkozy, Lavrilleux...).
Son objectif : affaiblir Fillon. Pourtant, jusqu'au bout, il a cru - ou fait croire - que François Fillon devait l'emporter.
En apparence, ce fut une bataille Fillon-Copé. En réalité, c'est déjà le 3e acte d'une guerre Sarkozy-Fillon qui ne dit pas son nom. Guerre feutrée, masquée mais bien réelle. Troisième acte ? Oui, car cette guerre-là dure en réalité depuis au moins deux ans.
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