Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Seul dans son atelier d'Antibes, face à la mer, Nicolas de Staël a peint, en trois jours, une toile géante de trois mètres cinquante sur six, Le Concert, puis il s'est jeté dans le vide.
C'était le 16 mars 1955, il avait quarante et un ans et était au faîte de sa gloire. Dans cette gigantesque toile, dans les deux Instruments de musique qui y sont représentés un piano à queue et une contrebasse, dans le rouge vermillon qui enflamme le fond de la composition, se trouve sans doute enfouie l'explication de son geste...
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