Quand Gaston Lagaffe rencontre la veuve noire.
Plus à l'aise dans les gaffes que dans la rédaction de sa thèse, Arnaud Rudel se voit, à sa grande surprise, attribuer une bourse prestigieuse à All Souls College, vénérable collège de Cambridge. Il y est chargé de prononcer une conférence sur Lady Charity Backwater, mystérieuse Puritaine qui vécut à Cambridge au temps de la Révolution anglaise et fut accusée d'avoir poignardé son mari, un fidèle du roi Charles Ier, quelques jours avant l'exécution de ce dernier, en janvier 1649.
À peine Rudel se met-il au travail que des phénomènes étranges se produisent. jusqu'au jour où une jolie physicienne avec laquelle il venait de se lier d'amitié est retrouvée assassinée dans la bibliothèque, frappée par le poignard de Charity que le collège conservait comme une relique.
Qui est responsable de ce meurtre ? Le fantôme de Charity, cette « dame noire » dont, aux dires de tous, le souvenir vénéneux hante encore le collège ? Ou quelque assassin de chair et d'os ? À All Souls, les professeurs ne se font pas de cadeaux. Soupçonné par la police, Arnaud Rudel n'a d'autre choix que de mener l'enquête lui-même afin de prouver son innocence. Cornaqué par son amie Véronique Leblanc, jeune universitaire aussi brillante et dynamique qu'il est empoté et maladroit, Rudel va devoir briser le code d'un terrible secret qui touche à l'histoire de la Couronne britannique.
L'AUTEUR Sorti il y a peu de l'École normale supérieure, Tony Gheeraert enseigne actuellement la littérature française à l'université de Rouen. Son premier roman, où affleure un humour à la David Lodge, conjugue subtilement les atmosphères du polar et du roman historique.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron
