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Le bambou noir

Couverture du livre « Le bambou noir » de Jean-Marc Tera'Ituatini Pambrun aux éditions Le Motu
  • Date de parution :
  • Editeur : Le Motu
  • EAN : 9782915105186
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Avec Le Bambou noir, Jean-Marc Tera'ituatini Pambrun nous livre son premier grand roman, qu'il qualifie lui-même d'impressionniste.
Le récit qu'il nous propose est l'histoire de la formation, de l'ascension sociale, de la chute et du bannissement d'un jeune Tahitien pétri de révolte et... Voir plus

Avec Le Bambou noir, Jean-Marc Tera'ituatini Pambrun nous livre son premier grand roman, qu'il qualifie lui-même d'impressionniste.
Le récit qu'il nous propose est l'histoire de la formation, de l'ascension sociale, de la chute et du bannissement d'un jeune Tahitien pétri de révolte et d'idéaux, à la vocation de peintre singulièrement contrariée par l'histoire politique et sociale de son pays. C'est dans la France et la Polynésie des années 70 et 80 que l'auteur nous entraîne sur les traces de cet artiste écorché par la vie qui va de certitudes en désillusions au fur et à mesure qu'il entre en contact avec la réalité humaine.
Écrit dans un style conjugué à la troisième personne du passé composé, le roman se lit comme on dit une confidence. D'ailleurs, le héros est marqué de sentiments si passionnés, mais néanmoins d'une grande pudeur, que l'ouvrage a des accents de journal intime, dans lequel le narrateur nous invite notamment à suivre de chapitre en chapitre l'évolution d'une oeuvre picturale esquissée par le Tahitien sur une quinzaine d'année et qui résume à elle seule sa destinée.
" Ce n'est pas exagérer que de considérer Le Bambou noir comme une véritable révélation de la littérature polynésienne contemporaine : il s'impose narrativement, idéologiquement, symboliquement. Il présente le traitement d'une culture, d'un peuple sondé de l'intérieur, il dénonce. L'auteur décompose l'exotisme collant, collé, réductionniste et affligeant imposé à toute une génération d'écrivains polynésiens contemporains.
Le Tahitien, c'est l'étranger, c'est nous. " Stéphanie Ariirau-Richard

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