Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Depuis l'apparition du terme « autofiction » dans les années 1970, les débats font rage autour de cette nouvelle stratégie de narration, dont les frontières avec l'autobiographie sont encore mal délimitées et incertaines. S'inscrivant dans cette réflexion générique, Stéphanie Michineau interroge aujourd'hui l'oeuvre de Colette et l'oscillation de son écriture entre ces deux pôles. Tout en faisant de la romancière un précurseur dans l'avènement de ce qu'on hésite encore à qualifier de « genre littéraire », la critique met ainsi en évidence l'originalité de la sulfureuse auteur des « Claudine » qui, tout en refusant l'écriture autobiographique, a su injecter assez d'elle-même et de sa vie dans ses oeuvres pour se dire de manière biaisée, et forger dans le même temps, consciemment ou non, l'image qu'elle laisserait à la postérité.
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Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron