Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
La naissance d'Aristide n'a pas été des plus faciles, c'est sa mère qui le lui a raconté, et les forceps ne lui ont guère arrangé le portrait. Pourtant, c'est un brave garçon. Pourtant, sa mère a décidé qu'Aristide irait vivre chez ses grands-parents près d'Avignon. Parce qu'il aimait bien, lui, la petite bonne algérienne et qu'ils n'aimaient pas, eux, ses cheveux trop bouclés, ils n'en ont plus voulu. Alors, sa mère l'a envoyé chez les Foucard à Argenteuil. Les Foucard sont plutôt gentils, même s'ils l'appellent "l'Affreux" et lui font faire le ménage. Chez eux, la vie n'est pas désagréable (même quand vient le voisin, Monsieur Lambrule, qui se fait appeler "lieutenant"), surtout grâce à Nathalie, la fille aînée qui a une sacrée poitrine et qui sait si bien embrasser. C'est comme Madame Bergson, la prof de français dont Aristide a pris la défense quand le grand Azyd lui a craché dessus. Madame Bergson ? Nathalie ? Il ne sait plus laquelle il a envie d'épouser. Mais voilà, un jour, Madame Bergson est assassinée et tout le monde l'accuse. Alors Aristide part à Marseille, chez son père. Même qu'il s'appelle Mohamed B. Lui aussi, il est gentil. Mais l'expérience lui apprendra qu'il n'est pas toujours facile de retrouver un père, surtout quand celui-ci s'appelle Mohamed. Alors, parce qu'il n'avait jamais oublié Nathalie, ni la pauvre Madame Bergson, Aristide est remonté à Argenteuil, pour voir si les choses ne pouvaient pas s'arranger... Elles s'arrangeront.
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