Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Avec « Le dernier combat », deuxième tome de leur ditptyque « La Vénus du Dahomey », Galandon et Casini poursuivent leur exploration de cet épisode peu glorieux de l'histoire européenne au 19e siècle : l'engouement pour les zoos humains et autres cabarets de monstres.
Diamanka, rebaptisée « La Vénus du Dahomey » et exhibée au Jardin d'acclimatation de Paris, est souffrante. Fernand de la Fillière, médecin bourgeois, subjugué par cette « beauté sauvage », la recueille chez lui au mépris du qu'en-dira-t-on... et des convictions de sa famille. Pour soigner Diamanka, il teste une nouvelle substance, l'« heroisch ». La jeune femme se remet, mais développe une addiction à ce produit qui altère aussi son comportement. L'hostilité de la femme de Fernand et de leur fils, Eugène, se fait plus en plus pesante... jusqu'à l'accident. La femme de Fernand meurt. Dès lors, Eugène n'a plus qu'une idée en tête : se venger. Diamanka doit payer.
L'histoire de la Vénus du Dahomey s'achève avec ce second tome ; une fiction historique poignante.
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