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La tristesse des femmes en mousseline

Couverture du livre « La tristesse des femmes en mousseline » de Jean-Daniel Baltassat aux éditions Calmann-levy
Résumé:

Berthe, vous pouvez douter de tout,  mais pas de cela. Vous portez l'amour  en peignant. La main qui tient votre pinceau  est celle de l'amour. Rien ne pourra se faire  de beau sans lui. Qu'importe si vous  ne savez pas où cela vous conduira, pour qui et comment. Cela viendra  et ce sera votre... Voir plus

Berthe, vous pouvez douter de tout,  mais pas de cela. Vous portez l'amour  en peignant. La main qui tient votre pinceau  est celle de l'amour. Rien ne pourra se faire  de beau sans lui. Qu'importe si vous  ne savez pas où cela vous conduira, pour qui et comment. Cela viendra  et ce sera votre oeuvre.1945, à Paris. Paul Valéry, vieux solitaire indifférent  à la fureur des temps, doit en admettre l'horreur.  Cherchant la lumière, il rouvre le carnet hérité  dans sa jeunesse de Berthe Morisot, peintre du silence  et de l'absolu. Dans ses mots, il affronte l'exigence vitale  de beauté qui fut sa quête. Revient alors le souffle  de la vie, malgré tout.

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Avis (4)

  • Pour moi je trouve le récit pas très prenant , j ai lu la vie de Berthe Morisot il était super bien , celui la il l ne ma pas amener avec la même ardeur , et le plaisir de lire c est mon point de vue de lecteurs donc je vais dire que j ai était déçue de se livre ........c est très rare quand un...
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    Pour moi je trouve le récit pas très prenant , j ai lu la vie de Berthe Morisot il était super bien , celui la il l ne ma pas amener avec la même ardeur , et le plaisir de lire c est mon point de vue de lecteurs donc je vais dire que j ai était déçue de se livre ........c est très rare quand un livre ma passionne pas dommage

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  • La tristesse des femmes en mousseline de Jean-Daniel Baltassat m'a été envoyé par Calmann-Lévy via net galley, et je les en remercie chaleureusement.
    1945, à Paris.
    Paul Valéry, vieux solitaire indifférent à la fureur des temps, doit en admettre l’horreur.
    Cherchant la lumière, il rouvre le...
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    La tristesse des femmes en mousseline de Jean-Daniel Baltassat m'a été envoyé par Calmann-Lévy via net galley, et je les en remercie chaleureusement.
    1945, à Paris.
    Paul Valéry, vieux solitaire indifférent à la fureur des temps, doit en admettre l’horreur.
    Cherchant la lumière, il rouvre le carnet hérité dans sa jeunesse de Berthe Morisot, peintre du silence et de l’absolu.
    Dans ses mots, il affronte l’exigence vitale de beauté qui fut sa quête. Revient alors le souffle de la vie, malgré tout.
    La tristesse des femmes en mousseline est un roman qui m'a fait découvrir Berthe Morisot, artiste peintre française dont je n'avais jamais entendu parler ! J'ai apprécié cette découverte et je suis d'ailleurs aller voir avant d'ouvrir ce roman ce qu'elle avait peint.
    J'ai donc découvert cette femme et j'ai apprécié cette plongée dans un autre temps.
    Nous avons ici un très joli roman plein de poésie, très joliment écrit. J'ai été charmée par La tristesse des femmes en mousseline.
    Ma note : 4 étoiles
    Encore une bonne surprise de cette rentrée littéraire 2018 :)

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  • Et tout à coup, nous nous trouvons dans l’appartement de Paul Valery, à la fin de la seconde guerre mondiale. Le monde découvre l’horreur des camps, Paul Valery se renferme dans ses souvenirs. Il pense à la beauté.

    Il se souvient des faiseurs de beauté, Monet, Degas, Manet et puis elle,...
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    Et tout à coup, nous nous trouvons dans l’appartement de Paul Valery, à la fin de la seconde guerre mondiale. Le monde découvre l’horreur des camps, Paul Valery se renferme dans ses souvenirs. Il pense à la beauté.

    Il se souvient des faiseurs de beauté, Monet, Degas, Manet et puis elle, cette femme incroyable, Berthe Morisot. Peintre douée malgré les interdictions effarantes que les femmes artistes sont obligées de subir (elles ne peuvent pas peindre d’hommes, de nus, que des scènes champêtres ou des mères regardant tendrement leurs enfants (je caricature mais à peine)).

    Berthe Morisot n’est pas totalement oubliée, elle n’est tout de fois pas assez connue. Le mérite de ce roman est de nous la faire découvrir d’une façon fantomatique. Elle est là, elle observe le vieux Valery, elle passe, ne dit pas grand-chose, et se retire. On apprend qu’avant le silence, qu’avant les quelques phrases longuement pensées et mesurées, elle fut tempétueuse, tumultueuse, jusqu’à déchirer toute sa production.
    Degas est magnifique, je l’ai retrouvé ici tel que je me l’imagine depuis toujours.

    Enfin, Valery, vieillissant, ayant revécu cette jeunesse, cette fascination pour Morisot. L’ayant enfin comprise, se retrouve face à la beauté de la (sur)vie.

    De beaux portraits que l’auteur pose en touches délicates.

    #LaTristesseDesFemmesEnMousseline #NetGalleyFrance

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  • Février 1945, Paul Valéry écrivain et poète français est seul chez lui. Indifférent aux troubles de son temps, il doit pourtant en admettre l’horreur.

    Pour y échapper et retrouver un peu de lumière il se plonge dans les écrits que lui a laissé la peintre Berthe Morisot.

    Jean-Daniel...
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    Février 1945, Paul Valéry écrivain et poète français est seul chez lui. Indifférent aux troubles de son temps, il doit pourtant en admettre l’horreur.

    Pour y échapper et retrouver un peu de lumière il se plonge dans les écrits que lui a laissé la peintre Berthe Morisot.

    Jean-Daniel Baltassat a le don précieux de faire revivre cette époque, la fin du 19ème siècle, et de nous amener dans les pas des artistes et intellectuels de cette période.

    Valéry est alors l’un des fidèles du salon de Mallarmé. C’est là qu’il rencontre Berthe Morisot, veuve d’Eugène Manet, peintre et modèle d’Edouard Manet. Nous sommes en mars 1894, Paul a 24 ans et Berthe 54.

    Avec une plume délicate, précise et précieuse, Jean-Daniel Baltassat nous entraîne dans leurs pas, recréant magnifiquement l’atmosphère de l’époque. Un récit poétique et nostalgique.
    Si je me suis parfois perdue entre les différentes époques, les souvenirs de Valéry et les écrits de Berthe, cela n’a fait, finalement, qu’ajouter à l’ambiance du récit.

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