Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
D'après ma mère, pas de doute : une pute, habillée en pute, maquillée à outrance, qui ramenait des hommes, plusieurs par semaine, quoique tous plus ou moins semblables, car ils appartenaient à la grande confrérie musulmane, l'oumma, bref ils étaient tous de la famille. Elle organisait avec l'aide de ma deuxième cousine, et surtout de ma deuxième tante - la jeune, celle qui s'était mariée une dizaine de fois et qui avalait ses maris - des soirées louches de musulmans dégénérés, entre deux piqûres. Des tas de choses interdites y coulaient à flots : alcool, gâteaux sirupeux, etc.
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