Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Sans doute MA référence BD. S'il n'en restait qu'une, ce serait l'ensemble de cette quête. Un graphisme que je redécouvre lecture après lecture. Une histoire prenante et émouvante à la fois. Je ne m'en lasse toujours pas.
Pélisse, la fille de Mara, a pour mission de convaincre Bragon de retrouver la conque de Ramor pour éviter une catastrophe. Cette belle jeune femme se révèle être la fille de Bragon et c'est ensemble qu'ils partent en quête de la conque.
Ce premier album de la Quête de l'Oiseau du Temps date de 1981, autant dire un éternité dans le monde de la bande dessinée, et pourtant cette série n'a jamais cessé de vivre. La Quête de l'Oiseau du Temps est reconnu comme étant la première bande dessinée de fantasy française. Dans l'univers d'Akbar, nos héros sont confrontés à une apocalypse imminente, égrené d'humour et jalonné d'actions, leur quête va se révéler être périlleuse.
Le scénario est passionnant, le dessin est superbe, la jeune Pélisse est vraiment... magnifique, mais les couleurs datent, et manquent de profondeur, donnant une sensation de platitude désagréable à l'ensemble.
Ayant commencé la série créée après la Quête et se nommant Avant la Quête, je connaissais déjà le personnage de Bragon, et la ressemblance de Pélisse avec sa mère Mara est frappante, et le fouet qu'utilise Pélisse, héritage de sa mère capricieuse, fait aussi une apparition fracassante.
Un premier album intéressant qui sans aucun doute laisse présager d'une suite toute aussi excitante.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron