Le jury de la 16e édition, présidé par Jean-Christophe Rufin, a délibéré
Gabriel Chevallier, que l'on reconnaît sous les traits de Jean Dartemont, raconte la guerre de 1914-1918 telle qu'il l'a vécue et subie, alors qu'il n'avait que vingt ans. Le quotidien des soldats - les attaques ennemies, les obus, les tranchées, la vermine - et la Peur, terrible, insidieuse, « la peur qui décompose mieux que la mort ». Parue en 1930, censurée neuf ans plus tard, cette oeuvre, considérée aujourd'hui comme un classique, brosse le portrait d'un héros meurtri, inoubliable.Voilà plus de trente ans qu'une exceptionnelle estime m'attache secrètement à ce livre. Roger Martin du Gard, 21 janvier 1956.La Peur de Gabriel Chevallier est un très beau, très vrai livre de guerre. Sa sincérité est totale, effrayante et parfois cynique. Pierre Scize, Le Canard enchaîné.Un témoignage peut-être encore plus terrifiant que Le Feu d'Henri Barbusse et Les Croix de bois de Roland Dorgelès. Bernard Pivot, Le Journal du dimanche.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Le jury de la 16e édition, présidé par Jean-Christophe Rufin, a délibéré
Une plongée dans la vie rurale d'hier et d'aujourd'hui, par des auteurs français et étrangers
Dans ce village normand peuplé de paysans taiseux et d’enfants-fées, une jeune vétérinaire découvre le cadavre d'un étalon sauvagement mutilé
Un roman graphique exceptionnel qui raconte l'incroyable parcours de George Lucas, le créateur de Star Wars