Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Un peu avant la guerre de 1914 - 1918, à Saint-Brieuc, un cordonnier essaie de créer dans la ville une section socialiste, puis, n'étant pas arrivé à convaincre les habitants, entreprend de construire de ses mains une « maison du peuple ». Son fils - encore un enfant - assiste à ses efforts désespérés pour donner un espoir au peuple.
L'art de Guilloux, pudique et tendre, est déjà tout entier dans ce premier roman qui annonce une des oeuvres majeures de son temps. Loin d'être un simple roman à thèse, La Maison du peuple est en réalité un hymne à la tendresse humaine. Il est suivi d'un texte bref, Compagnons, qui raconte la mort d'un ouvrier. Sur un thème désespéré, Guilloux évite tout mélodrame et son histoire gagne une dignité émouvante.
Le livre est préfacé par Albert Camus, qui écrit : « Je défie qu'on lise ce récit sans le terminer la gorge serrée. »
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