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La maison du chat-qui-pelote

Couverture du livre « La maison du chat-qui-pelote » de Honoré De Balzac aux éditions Le Livre De Poche
Résumé:

La Maison du Chat-qui-pelote, c'est d'abord une enseigne de boutique doublée d'un tableau : « Une formidable pièce de bois, horizontalement appuyée sur quatre piliers qui paraissaient courbés par le poids de cette maison décrépite, avait été rechampie d'autant de couches de diverses peintures... Voir plus

La Maison du Chat-qui-pelote, c'est d'abord une enseigne de boutique doublée d'un tableau : « Une formidable pièce de bois, horizontalement appuyée sur quatre piliers qui paraissaient courbés par le poids de cette maison décrépite, avait été rechampie d'autant de couches de diverses peintures que la joue d'une vieille duchesse en a reçu de rouge. Au milieu de cette large poutre mignardement sculptée se trouvait un antique tableau représentant un chat qui pelotait. » Mais cette nouvelle, écrite en 1829 et plus tard placée par Balzac en ouverture de La Comédie humaine, est elle aussi un tableau vrai, tableau du Paris commerçant - le Marais et la rue Saint-Denis - que l'écrivain prend plaisir à peindre. Un tableau de moeurs, également, et son premier titre, Gloire et malheur, laissait plus directement deviner que s'y jouait le destin d'une femme : « Les humbles et modestes fleurs, écloses dans les vallées, meurent peut-être quand elles sont transplantées trop près des cieux, aux régions où se forment les orages, où le soleil est brûlant. » Présentation et notes par Patrick Berthier.

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Avis (2)

  • Premier tome de la comédie humaine. 51 tomes en tout dont les 27 premiers correspondent à la saga Scènes de la vie privée, les 10 suivants correspondent à la saga Scènes de la vie de Province et enfin les 14 derniers à la saga Scènes de la vie parisienne. Je n'ai donc pas fini de le lire !! Mais...
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    Premier tome de la comédie humaine. 51 tomes en tout dont les 27 premiers correspondent à la saga Scènes de la vie privée, les 10 suivants correspondent à la saga Scènes de la vie de Province et enfin les 14 derniers à la saga Scènes de la vie parisienne. Je n'ai donc pas fini de le lire !! Mais comme avec Zola et sa saga des Rougon-Macquart, je prends le temps ! S'il me faut 10 ans pour tous les lire, je mettrai 10 ans ! Le principal est d'y prendre du plaisir ... Les deux premiers sont très court, celui-ci fait à peine 95 pages. Je trouve ça super pour commencer une telle fresque historique et familiale ! Grâce à cette "nouvelle" je sais où je vais et je m'habitue à la plume de l'auteur qui n'est pas toujours simple ... Il m'est arrivé, au début, de relire plusieurs fois une même phrase pour bien la comprendre mais une fois familiarisée, le texte se comprend facilement ! Dans ce livre, nous découvrons la famille Guillaume : Mr et Mme propriétaire d'une draperie avec leurs 3 commis et leurs 2 filles Virginie l'aînée (28 ans) et Augustine la cadette (18ans). Pour faire simple, je résumerai en disant que l'une fera un mariage d'amour-passion avec un jeune peintre nommé Théodore De Sommervieux et l'autre fera un mariage de raison avec le plus âgé des commis de la maison, Joseph Lebas. Lequel de ces 2 mariages sera une réussite ? à vous de le découvrir en lisant ce livre. C'est hyper intéressant ! Sans pour autant vous lancer dans cette saga, je vous conseille cette petite histoire qui vous mettra l'eau à la bouche (ou pas) pour continuer ! Pour l'instant, vous l'aurez compris, je continue et j'entame de suite le deuxième opus tout aussi court ... Au troisième, on passe aux choses sérieuses avec Mémoires de deux jeunes mariées qui comptent 504 pages ! Mais rien que le titre me fait penser à l'histoire de ce premier tome que je viens de vous résumer en une phrase ! Je devrais donc beaucoup aimé ce roman à venir !

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  • Je confesse, Balzac ce n'est pas ma tasse de thé, ni de café d'ailleurs.

    Je garde en mémoire les souffrances infligées par les lectures obligatoires, au collège, puis au lycée, du Père Goriot et de la Peau de Chagrin.

    Me disant qu'il était peut-être temps, plus de 20 ans après, de...
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    Je confesse, Balzac ce n'est pas ma tasse de thé, ni de café d'ailleurs.

    Je garde en mémoire les souffrances infligées par les lectures obligatoires, au collège, puis au lycée, du Père Goriot et de la Peau de Chagrin.

    Me disant qu'il était peut-être temps, plus de 20 ans après, de redonner une chance à cet auteur, je me suis mise en quête d'une de ses oeuvres.

    J'ai été attirée vers celle-ci pour deux raisons:

    - son titre, que j'ai trouvé à la fois désuet et rigolo
    - sa brièveté, je l'avoue.

    De plus, cette nouvelle, dont le précédent titre "Gloire et malheur" correspondait tout à fait, a ensuite fait l'ouverture de la « Comédie humaine ».

    L'histoire est simple : un commerçant aisé a deux filles, l'une très jolie – Augustine, la cadette – et l'autre plus ingrate, qu'il souhaite bien marier. Il est bien entendu hors de question de marier la benjamine avant d'avoir casé l'aînée. Il pense à l'un de ses commis pour futur gendre, ce qui ravirait Virginie, l'aînée des filles, amoureuse en secret de cet homme, et cela lui permettrait aussi de trouver un successeur à son commerce. Mais voilà, le commis est quant à lui amoureux d'Augustine qui, elle, tombe en pâmoison devant un artiste-peintre, bohème mais noble de son état. Encore une histoire de triangle, voire ici de quadrilatère, amoureux.

    Chacun finira par y trouver son compte, pour un temps du moins...

    Ce fut une lecture relativement plaisante même si, encore une fois ici, les descriptions sont légions et n'apportent pas d'intérêt au récit. Certes, Balzac le fait bien, je ne peux pas le lui reprocher, mais, vraiment, ce n'est pas ma came.

    Cette oeuvre n'aura pas réussi à me réconcilier tout à fait avec cet auteur.

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