Préparez-vous à passer une nuit blanche en plongeant dans le monde tordu et terrifiant de La Maison de poupée, le nouveau thriller de M.J. Arlidge.
Une jeune femme se réveille, désorientée. Elle n'est pas dans son lit mais dans une cave. Prisonnière d'un simulacre de chambre. La panique monte. Comment a-t-elle atterri là ?Pourquoi ?
Non loin de là, des promeneurs font une découverte macabre : le corps décomposé d'une femme. Sa disparition n'a jamais été signalée : sa famille recevait régulièrement de ses nouvelles via les réseaux sociaux et n'avait donc aucune raison de s'inquiéter. Quel assassin peut être assez pervers pour jouer ainsi avec les proches de ses victimes ?
La détective Helen Grace se lance sur la piste de ce meurtrier redoutable. Un prédateur vicieux et intelligent qui ne recule devant rien. Mais elle doit faire vite. Quelque part, une femme lutte pour sa survie...
Une jeune femme se réveille dans une cave froide et sombre. Elle est seule et n'a pas la moindre idée de la façon dont elle s'est retrouvée là, ni de l'identité de son ravisseur. Et elle ignore encore que son cauchemar ne fait que commencer...
Les chapitres sont courts et on alterne entre l'enquête et le calvaire de la victime qui est séquestrée, j'aime ce genre de construction, cela permet de comprendre le point de vue de la victime.
Ce qui est intéressant dans cette saga, c'est que chaque tome est vraiment différent, cependant on suit la vie de Hélène Grace et son équipe.
L'intrigue est encore très bien ficelée comme à son habitude, et encore pour celui-là, je n'ai pas su deviner qui était le coupable, il y a une tension, un suspens qui est vraiment appréciable.
Le côté psychologique est aussi présent, et cela donne un petit plus au récit, l'écriture de l'auteur est toujours aussi immersive ce qui m'a permis de lire assez vite les parties chaque jour.
J'ai beaucoup aimé aussi la guerre se livre Hélène et sa responsable direct, elle ne lâche rien et iras au bout de ces investigations, c'est vraiment captivant ce genre de personnage qui est obstiné et quoi qu'il arrive va jusqu'au bout.
Pour ce troisième volume des enquêtes d'Helen Grace, le lecteur sent une nette amélioration dans l'écriture de l'auteur. Les chapitres sont courts, les personnages peu nombreux et moins emmêlés que dans les deux précédents volumes.
Résultat, le lecteur est très vite plongé dans l'histoire qui se révèle être une traque d'un tueur impitoyable.
Pour les lecteurs qui ne connaissent pas l'auteur, ce livre peut se lire indépendamment des autres mais je conseille quand même la lecture des volumes dans l'ordre chronologique.
Lu en VO. Toujours aussi nerveux et tendu. Des chapitres très courts. Une course contre la montre pour sauver une femme séquestrée par un malade mental des plus dangereux. Des protagonistes toujours aussi captivants. Facile et rapide à lire, et surtout, très divertissant. J'enchaine le suivant avec beaucoup d'entrain.
Il y a beaucoup de chose inutile dans ce récit.
Un avis similaire aux deux tomes précédents.
C'est indéniable, il s'agit d'un polar efficace. Mais je reste quand même plutôt mitigé, je trouve qu'il manque quelque chose. Rien ne démarque ce livre des innombrables polars qui sortent régulièrement en librairie.
Je trouve aussi, une fois de plus, que l'histoire souffre de quelques longueurs. Les personnages sont très classiques dans ce genre même si l'évolution des interactions entre les différents protagonistes est plus intéressante dans ce troisième opus.
Bref, encore une fois, c'est un "sans plus" pour moi même si la lecture est loin d'être désagréable.
Très heureuse de retomber par hasard sur un nouveau roman de l'auteur d'Am Stram Gram ! Ce dernier m'avait soufflé par son côté brutal sans filtre, et la fin du roman sans once d'une perspective positive était des plus déstabilisante.
La maison de poupée est bien du même acabit : l'équipe enquêtrice a changé, même si l'héroïne principale reste la même, et de nouveau, on joue le jeu d'une traque contre la montre. Les indices s'accumulent, petit à petit se dessine le profil du suspect, tout d'une manière assez régulière et cohérente : aucune précipitation et beaucoup de minutie, voici ce qui caractérise selon moi l'écriture de MJ Aldridge. Ce thriller est donc rondement mené, un classique du genre qui se lit rapidement et avec plaisir.
Le roman est construit de façon méthodique. Il y a des chapitres alternés entre les différents personnages qui enquêtent et ceux consacrés au psychopathe et aux pensées de la jeune fille séquestrée. On progresse au fur et à mesure des éléments qui sont trouvés grâce à l'enquête. Les chapitres sont courts. Ils donnent une bonne dynamique au récit. L'écriture est fluide. L'auteur inclu à son récit des discordes entre plusieurs personnages qui donne du peps à l'histoire.
http://magrandelibrairie.over-blog.com/2018/05/la-maison-de-poupee.html
N'ayant pas lu les tomes précédents dont j'avais beaucoup entendu parlé en bien, j'ai été vraiment ravie de me plonger dans ce livre.
Malheureusement, je ne vais pas faire une critique très élogieuse de cette « maison de poupée ».
Si vous cherchez une lecture de plage, un polar qui se lit vite, vous serez comblé.
Mais si vous cherchez un polar qui sort des sentiers battus, vous risquez fort d'être déçu. Ici tout est déjà vu.
Un tueur en série, une super femme flic, une brigade avec des tensions...
On avance très vite dans la lecture car les chapitres font max trois quatre pages mais il n'y a rien de nouveau dans l'intrigue ou dans la psychologie des personnages.
J'ai trouvé cette histoire policière terriblement convenue.
Lu dans la journée et oublié presque aussi vite.
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