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La légende dorée ; illustrée par les peintres de la Renaissance italienne

Couverture du livre « La légende dorée ; illustrée par les peintres de la Renaissance italienne » de Jacques De Voragine aux éditions Diane De Selliers
Résumé:

Dès sa parution vers 1260, le retentissement de La Légende dorée fut considérable. La Legenda Sanctorum « ce qui doit être lu des saints » devient rapidement la Legenda Aurea parce que, dit-on, son contenu est d'or...
Cette extraordinaire vie de saints écrite par Jacques de Voragine, futur... Voir plus

Dès sa parution vers 1260, le retentissement de La Légende dorée fut considérable. La Legenda Sanctorum « ce qui doit être lu des saints » devient rapidement la Legenda Aurea parce que, dit-on, son contenu est d'or...
Cette extraordinaire vie de saints écrite par Jacques de Voragine, futur archevêque de Gênes, est, avec la Bible, le livre le plus lu, copié, enluminé, traduit dans toutes les langues.
La Légende dorée est, dès le début de la Renaissance italienne, l'ouvrage de référence incontesté de tous les peintres : les plus grands artistes s'en sont directement inspirés : Duccio, Giotto, Simone Martini, Fra Angelico, Ambrogio et Pietro Lorenzetti, Masaccio, Masolino, Piero della Francesca ..., mais aussi des artistes moins connus, mais non moins inspirés. La Légende dorée est pour eux une source d'inspiration inépuisable, et ils enrichissent ainsi les églises, les couvents et les monastères de fresques, de retables, de polyptyques, déployant tout leur génie dans l'illustration des scènes de la vie des saints telles que Jacques de Voragine les a décrites. Leurs oeuvres sont éblouissantes d'humanité, de grâce, de force, d'émotion et de compassion.
Quatre cents reproductions en couleurs de plus de cent-vingt peintres du Trecento et du Quattrocento italiens sont reproduites, dont un grand nombre n'avait jamais été vu : fresques cachées au fond de couvents, retables découverts dans de petites églises, prédelles éparpillées dans divers musées, enfin rassemblées.

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