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La leçon du mal

Couverture du livre « La leçon du mal » de Yusuke Kishi aux éditions Belfond
  • Date de parution :
  • Editeur : Belfond
  • EAN : 9782714494610
  • Série : (-)
  • Support : (-)
  • Nombre de pages : 544
  • Collection : (-)
  • Genre : (-)
  • Thème : (-)
  • Prix littéraire(s) : (-)
Résumé:

Rythme effréné, personnages détonants, narration addictive, un roman sidérant : par son envergure, par le phénomène qu'il a généré au Japon, par les thématiques qu'il aborde. Un American Psycho japonais, critique féroce et jouissive d'une société enfermée dans ses codes, sa hiérarchie sociale... Voir plus

Rythme effréné, personnages détonants, narration addictive, un roman sidérant : par son envergure, par le phénomène qu'il a généré au Japon, par les thématiques qu'il aborde. Un American Psycho japonais, critique féroce et jouissive d'une société enfermée dans ses codes, sa hiérarchie sociale et ses traditions passéistes, qui finit par engendrer des monstres.
LA LEÇON DU MAL, LE ROMAN JAPONAIS PHÉNOMÈNE:

De l'avis de tous, Seiji Hasumi est le professeur le plus charmant, le plus séduisant, le plus charismatique du lycée Shinkô Gakuin de Machida. Adulé de ses élèves, admiré de ses collègues, apprécié de sa direction, le jeune homme est fin, drôle, toujours prêt à voler au secours des uns, à aider les autres, à combattre les injustices et le harcèlement, à dénouer les conflits.
Hasumi est tout cela et pire encore. Hasumi est un psychopathe. Manipulateur, calculateur, pervers, prêt à tout pour prendre le contrôle et asseoir son pouvoir. Un être violent, qui n'hésite pas à éliminer quiconque se met en travers de sa route. Trois élèves l'ont percé à jour. Commence alors une traque terrifiante, aux conséquences inimaginables...

Plongez dans un polar à huis-clos angoissant qui vous tiendra en haleine.

UN LIVRE JAPONAIS CULTE:

Né en 1959 à Osaka, Yûsuke Kishi est membre de l'association Mystery Writers Japan. Ses romans sont tous des best-sellers, régulièrement adaptés en mangas ou en films. Oeuvre culte au Japon, publié pour la première fois en France sous forme de roman, le thriller La Leçon du mal a déjà été adapté en manga chez Kana et à l'écran par le cinéaste japonais Takashi Miike.

ILS EN PARLENT:

Thriller au rythme effréné et à la narration addictive, la leçon du mal est un roman japonais sidérant ayant engendré un phénomène au Japon. Ce polar est un véritable American Psycho japonais, critique féroce et jouissive d'une société qui finit par engendrer des monstres.

Quelques critiques de ce livre japonais:
Ici Paris: "Un étouffant huis-clos avec comme héros, le plus séduisant des monstres." France Inter: "Un page-turner. On ne lâche pas ce roman." Le Parisien: "Une savoureuse pépite littéraire. Un petit bijou de malaise et de cruauté." Les échos: "Une critique acerbe et virulente d'un système scolaire qui peut broyer les adolescents." La leçon du mal, roman japonais de Kishi Yuzuke traduit par Diane Durocher.

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Articles (1)

Avis (20)

  • Seiji Hasumi a tout du professeur idéal. Il est séduisant, charmeur, drôle, pédagogue. Il adulé par les élèves, admiré par ses collègue et apprécié par sa hiérarchie. Il est toujours prêt à aider les élèves, se battre contre le harcèlement, apaiser les conflits, etc. Néanmoins, sous ce masque de...
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    Seiji Hasumi a tout du professeur idéal. Il est séduisant, charmeur, drôle, pédagogue. Il adulé par les élèves, admiré par ses collègue et apprécié par sa hiérarchie. Il est toujours prêt à aider les élèves, se battre contre le harcèlement, apaiser les conflits, etc. Néanmoins, sous ce masque de perfection, Hasumi cache un petit défaut : c’est un psychopathe pervers et manipulateur, prêt à tout pour prendre le contrôle du lycée et exercer sa domination. Et il y arrive très bien jusqu’à ce qu’un petit groupe d’élèves le percent à jour. Commence alors une traque inimaginable, violente, cruelle aux conséquences terrifiantes…

    « Aku no kyōten », ou « Lesson of the Evil » a été un phénomène lors de sa publication au Japon en 2010. Il a même été adapté en manga puis en film. J’ai eu un peu de mal à entrer dans l’histoire car ce qui, au Japon, est un lycée ordinaire, paraît un peu surréaliste chez nous. Après ce premier temps, je me suis laissée gagnée par ce roman complétement sidérant.

    Le rythme est très rapide, les personnages sont tous plus décalés et détonants les uns que les autres et la narration est très addictive. L’ambiance me fait un peu penser au film American Psycho mais à la sauce japonaise, avec une critique déjantée d’une société enfermée dans ses codes d’un autre temps, sa hiérarchie rigide et ses injustices. L’histoire est racontée du point de vue d’Hasumi, le psychopathe, ce qui la rend d’autant plus décalée. Ses réflexions, sa cruauté et son manque d’empathie sont à la fois drôles (avec un humour très très noir) et ultra choquantes. La violence et l’ambiance angoissante monte crescendo jusqu’à un dénouement explosif. Âmes sensibles, s’abstenir.

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  • Magistral triller dont on ne peut s’arrêter de tourner les pages en espérant toujours que le pire ne va pas arriver...

    Magistral triller dont on ne peut s’arrêter de tourner les pages en espérant toujours que le pire ne va pas arriver...

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  • Un roman japonais qui suit les pas d'un psychopathe dans son parcours, c'était effectivement un livre à lire pour moi. Et je n'ai pas été déçue. Même si j'ai parfois été perdue par la multitude des personnages, le lecteur retombe facilement sur ses pieds parce que la trame suit le parcours...
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    Un roman japonais qui suit les pas d'un psychopathe dans son parcours, c'était effectivement un livre à lire pour moi. Et je n'ai pas été déçue. Même si j'ai parfois été perdue par la multitude des personnages, le lecteur retombe facilement sur ses pieds parce que la trame suit le parcours chronologique de Seiji Hasumi, quitte à expliquer certains faits en revenant sur le passé.

    Dans le cas d'Hasumi, l'habit ne fait pas le moine est une phrase inventée pour lui, le costume lui va à merveille sauf que ce qui est dans le costume est loin d'être agréable et délicat.

    Il enchante et charme ses proies jusqu'aux derniers instants, et tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins tout en cachant magnifiquement sa véritable nature.

    Je ne pourrais pas qualifier cette narration de thriller, cela reste un roman, même si certaines scènes sont quelque peu violentes, l'auteur se maintient hors du champs du sanglant et du trash même si le rythme s'accélère surtout dans la dernière partie du livre.

    La fin m'a d'ailleurs parue un peu précipitée par rapport aux cinq cents pages du volume.

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  • Si vous avez lu la 4e de couv’ ou si vous avez vu le film de Takashi Miike, vous savez déjà un peu. En tout cas, un roman et un professeur machiavéliques ! Tout une histoire et des stratagèmes qui font extrêmement froid dans le dos… Avec un style incisif extraordinaire. Si vous voulez découvrir...
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    Si vous avez lu la 4e de couv’ ou si vous avez vu le film de Takashi Miike, vous savez déjà un peu. En tout cas, un roman et un professeur machiavéliques ! Tout une histoire et des stratagèmes qui font extrêmement froid dans le dos… Avec un style incisif extraordinaire. Si vous voulez découvrir la société japonaise et vous faire peur, je vous conseille vivement ce roman noir glaçant !
    https://pativore.wordpress.com/2022/12/02/la-lecon-du-mal-de-yusuke-kishi/

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  • Hasumi est un professeur adoré par ses élèves, surtout les filles d'ailleurs, auxquels il enseigne l'anglais, animant en parallèle des ateliers de conversation. Il a décidé de faire également partie de l'équipe de surveillance.
    Bref, en apparence, c'est le professeur idéal que tous les élèves...
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    Hasumi est un professeur adoré par ses élèves, surtout les filles d'ailleurs, auxquels il enseigne l'anglais, animant en parallèle des ateliers de conversation. Il a décidé de faire également partie de l'équipe de surveillance.
    Bref, en apparence, c'est le professeur idéal que tous les élèves rêvent d'avoir, son enseignement est interactif, loin du cours magistral classique. Une véritable « armée » d'élèves s'est constituée autour de lui, regroupant les fans de la première heure, prête à tout pour lui, y compris aller faire un tour dans son lit.
    Toutes les filles ? Il semblerait que non, une des élèves, de nature hypersensible, sent bien que le tableau n'est pas aussi idyllique que cela et le comportement de Hasumi l'angoisse ; elle reste donc sur ses gardes.
    Tout n'est pas aussi simple, en effet. Hasumi a été prié de quitter son précédent établissement pour des raisons qu'il préfère minimiser : plusieurs élèves s'étant suicidés mais il a été blanchi, mais pourtant envoyé dans un autre lycée. Il suffit aussi de voir le sort qu'il réserve à un couple de corbeaux qui s'approche trop près de lui, ou encore son comportement avec le chien du voisin, qui lui a bien flairé la personnalité trouble du professeur…
    Certes, il est compréhensible que les élèves pour la plupart, soient en admiration devant ce professeur charismatique, car les autres enseignants sont ternes sinon monstrueux : le professeur de sport qui se livre à des attouchements sur les filles, le professeur de maths qui est attiré par la dive bouteille…
    Yûsuke Kishi nous entraîne en fait dans une descente aux enfers, ou une escalade de la violence, comme on préfère, avec une description magistrale de la manipulation, à travers ce professeur trop poli, trop bienveillant pour être honnête, et ceci pour notre plus grand plaisir.
    J'ai adoré me faire manipuler par l'auteur, fasciné par ce personnage machiavélique, dont je n'avais qu'une envie, qu'il s'en sorte pour que mon plaisir de lecture dure encore un peu, tant ce roman est addictif. On sait comment ça va se terminer, mais c'est un régal de voir comment fonctionne ce personnage pervers à souhait, (individu que dans la vie de tous les jours je déteste, je précise pour qu'il n'y ait pas de malentendu !). La presse a souvent évoqué « American psycho » en parlant de cet OVNI de la rentrée littéraire…
    Une scène m'a beaucoup intéressée : la mort violente des parents de Hasumi et comment il a réagi, mais je n'en dirai pas plus…
    J'ai bien aimé aussi la fascination de Hasumi pour « l'opéra de quat'sous » de Brecht dont il siffle souvent la « complainte de Mackie » notamment dans les moments où sa violence augmente et dont l'auteur partage le texte avec nous.
    Un grand merci à NetGalley et aux éditions qui m'ont permis de découvrir ce roman et ainsi que l'univers de son auteur dont j'aimerais bien lire d'autres livres.
    #LaLeçondumal #NetGalleyFrance !
    Lien : HTTPS://LESLIVRESDEVE.WORDPR..

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  • Au lycée privé Shinko Gakuin de Mashida, Seiji Hasumi est un professeur d’anglais populaire. L’homme est attentionné, charismatique, apprécié de ses supérieurs et adulé par les élèves de sa classe. Toujours prompt à régler les conflits, il veille à désamorcer les tentatives de harcèlement, à...
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    Au lycée privé Shinko Gakuin de Mashida, Seiji Hasumi est un professeur d’anglais populaire. L’homme est attentionné, charismatique, apprécié de ses supérieurs et adulé par les élèves de sa classe. Toujours prompt à régler les conflits, il veille à désamorcer les tentatives de harcèlement, à faire respecter les règles et à ce que chacun, ses étudiants comme ses collègues, s’épanouissent au sein de l’établissement. Pourtant, trois élèves n’ont pas succombé au charme de Seiji. Reika, Keisuke et Yûicho se méfient de ce professeur trop parfait pour être honnête. Et quand ils élaborent un plan pour le démasquer, Seiji entre en guerre…

    Sombre et féroce, ce polar japonais est une immersion dans l’esprit torturé d’un psychopathe. Un homme qui cache, sous des dehors avenants, une âme d’une totale noirceur. Grâce aux flashbacks savamment distillés par l’auteur, on découvre tous les secrets du professeur Hasumi dont les méfaits remontent à sa plus tendre enfance. Incapable du moindre sentiment, manipulateur et préoccupé de sa seule personne, le professeur préféré des élèves n’hésite pas à éliminer ceux qui se mettent en travers de sa route. Pourtant, trois élèves soupçonnent de sombres manigances et décident de mener l’enquête. Or, Hasumi ne compte pas les laisser révéler sa vraie nature. Commence alors un jeu du chat et de la souris où les adolescents constituent une proie de choix pour le prédateur. Poussé à bout, il perd le contrôle…
    La leçon du mal est un thriller psychologique et sanglant qui fait froid dans le dos. La tension et la violence vont crescendo pour finir sur une énième pirouette de ce tueur aussi insaisissable qu’intelligent. Âmes sensibles s’abstenir.
    Merci à La Fondation Orange, Lecteurs.com et aux éditions Belfond.

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  • Retour en littérature japonaise après une longue absence. Cette fois-ci avec ce thriller qui ravira tous les fans du genre : on peut dire que l'auteur Yûsuke Kishi n'a pas lésiné sur les moyens à sa disposition pour fournir frissons, angoisses et palpitations à son lecteur-rice. Je n'ai pas...
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    Retour en littérature japonaise après une longue absence. Cette fois-ci avec ce thriller qui ravira tous les fans du genre : on peut dire que l'auteur Yûsuke Kishi n'a pas lésiné sur les moyens à sa disposition pour fournir frissons, angoisses et palpitations à son lecteur-rice. Je n'ai pas compté le nombre de morts disséminés dans son roman, mais pour un pays vieillissant, j'imagine qu'il a mis un bon coup de poignard à la courbe démographique japonaise, d'autant que dans l'ensemble, les victimes sont jeunes. Je remercie le site Lecteurs.com ainsi que les Éditions Belfond qui m'ont fourni quelques heures de sueurs froides à la lecture de ses cinq pages. Le récit sort pour la première fois sous forme de roman en France, il a auparavant connu une première publication, mais sous forme de manga chez Kana et a été adapté à l'écran. Je ne suis certes pas une lectrice de mangas, mais j'avoue ma curiosité à le découvrir sous cette forme. Yûsuke Kishi a reçu à deux reprises le Prix de l'Association d'horreur du Japon, et après la lecture de La leçon du mal, ça n'étonnera personne.

    Tout prend forme dans un lycée public japonais, et on s’apercevra au fur et à mesure avec étonnement des différences entre le pays nippon et la France. Seiji Hasumi occupe la place de professeur d'anglais, l'un des préférés des élèves, et de professeur principal de la classe de 1ère 4. Très proches des élèves, soucieux de leur sort à chacun, le professeur est également membre du comité de surveillance. Rien ne lui échappe, ni les problèmes de harcèlements, ni les accointances ou inimitiés entre élèves, encore moins leurs points forts et faibles, leur caractère. Et pour cause, Hasumi est un maniaque, un obsédé du contrôle, un manipulateur, en bref, le psychopathe dans toute sa splendeur, ou plutôt dans toute sa laideur. Le professeur parfait le jour cache en réalité ses côtés sombres sous la couche en acier trempé de son armure qu'il s'est confectionné au fur et à mesure des années. La plupart des lycéens et de ses collègues s'y laissent prendre, à ce charme vénéneux de cet homme qui parvient à apprivoiser femmes et hommes, filles et garçons. Tous s'y laissent prendre, ou presque, dont le couple de corbeaux, avec cette scène assez terrifiante, qui ouvre le roman et qui annonce la couleur du récit.


    Ce roman se décompose en deux parties. La première qui montre un Hasumi évoluant dans son environnement, le lycée et son domicile, une première partie en lenteur qui montre la façon dont le professeur d'anglais résout ses problèmes, et la façon dont il fiche les élèves. Une partie composée de flash-backs dans le passé de Hasumi, celle qui nous permet de cerner la psychose de l'homme, sa profondeur, son immuabilité. Et ce n'est pas la méthode douce qu'il emploie, le dialogue, la conciliation, un arbitrage dans les règles et apaisé. La justice chez lui est toujours biaisée, il est juge et bourreau, il est conseil de discipline à lui seul. Il est tout-puissant : il punit par le chantage, il tient les gens à la gorge et il aime ça. Mais chez ce genre de personnage, le chantage, c'est la méthode douce. En ce qui concerne la méthode forte, les châtiments sont irréversibles ou presque, je vous laisse le plaisir de la découverte. Cette première partie révèle et expose la violence, psychologique et physique, de Hasumi, une violence ancienne, qu'il porte en lui depuis toujours, qui ne demande qu'à exploser. L'homme est d'une inventivité féroce quand il s'agit de torturer son prochain, l'air de rien, et de chapitre en chapitre, cela devient aussi fascinant, hypnotisant, pour le lecteur, d'observer l'endroit et l'envers du masque du parfait professeur qu'il s'est forgé au fil du temps. D'observer la célérité d'esprit qui est la sienne, sa perversion, pour trouver la moindre faille de son interlocuteur, et d'en tirer profit au maximum. Fascinant mais terrifiant.

    La seconde partie occupe peut-être le dernier tiers du récit. Comme un chant du cygne de Hasumi. Tueur par opportunisme, par facilité, et par plaisir, il devient tueur de masse. Car l'auteur s'est permis une faille, trois lycéens qui doutaient de la sincérité de l'homme, et dérangés par cette façade si superficielle. Deux adolescents et une ado qui se sont mis en tête de le démasquer, un trentenaire avec dix longueurs d'avance et dénué du moindre sentiment quel qu'il soit, prêt à tout pour défendre son masque sociable, cela donne un massacre en règle. La menace de voir se fissurer cette façade d'homme charmant, social et honnête provoque un ultime soubresaut d'autodéfense : et quand on sait que l'homme n'abrite qu'une coquille vide, on peut s'imaginer l'ampleur du désastre. Prédateur parmi d'autres prédateurs, les flash-backs détaillant son curriculum vitae bien garni d'expert-tueur et manipulateur donnent froid dans le dos, spécialement les fois où la vérité menaçait de faire jour. L'ultime tuerie s'étale sur plusieurs chapitres, qui sont relativement longs chez l'auteur japonais.

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  • Un roman étonnant, déroutant, fascinant pour finir !

    Au début j’ai eu un peu de mal avec le style assez froid et détaché ; le sourire parfait du professeur Hasumi, les paroles adéquates, toujours, et même sans savoir ce qui allait se passer j’ai senti une certaine angoisse monter ! En même...
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    Un roman étonnant, déroutant, fascinant pour finir !

    Au début j’ai eu un peu de mal avec le style assez froid et détaché ; le sourire parfait du professeur Hasumi, les paroles adéquates, toujours, et même sans savoir ce qui allait se passer j’ai senti une certaine angoisse monter ! En même temps que l’angoisse, j’ai été subjuguée par ce roman, par sa forme tout autant que par son contenu !

    Hasumi est un professeur apprécié de tous les élèves, ou presque, tant il sait les captiver dans ses cours d’anglais et il n’y a pas mieux comme professeur principal, la plupart des autres étant là faute de mieux ou de moins pire ! Une élève a peur de lui et de certains autres, sa sensibilité exacerbée lui fait ressentir des choses invisibles et insaisissables !

    La terreur s’installe incidemment et ne quitte plus l’histoire jusqu’à la dernière page ! Roman impossible à poser alors que je savais que tout allait mal tourner sans savoir à quel point ! Je salue aussi la traductrice Diane Durocher pour avoir su transmettre ce malaise et ce détachement face à la manipulation et à l’absence de sentiments. Remarquable !

    #rentreelitteraire2022 #LaLeçondumal #NetGalleyFrance

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