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« Mais comment tue-t-on sa mère quand elle est déjà morte ? » Edmée va tenter de le faire en racontant leur histoire : chaque mot est un cri pour se délivrer de Rose, cette mère dans la lignée de Mme Lepic et de Folcoche. Elle va la mettre à nu et en tracer un portrait terrible. Dure, égoïste, Rose a été une enfant mal aimée. Et Edmée, dans ses tentatives d'élucidation, livre ici un violent réquisitoire contre une relation de haine et d'amour qui l'a marquée à jamais.
237 pages de haine.
Haine pour une mère méchante et non-aimante.
Un long cri de 237 pages.
Et il n'en faut pas moins, en espérant que cela puisse suffire, pour exorciser ces années ou la froideur et la cruauté de sa mère l'ont plongée dans l'incompréhension et la souffrance.
Comment réussir à se construire, à construire soi-même une famille quand enfant et adolescente on n'a rien connu de l'amour ?
L'auteur semble fort heureusement y être parvenue, mais il y a encore toute cette haine pour cette mère Folcoche à évacuer.
D'où ce livre.
Un livre fort bien écrit, qui règle ses comptes avec cette marâtre.
J'ai beaucoup aimé le début, puis après j'ai un peu eu la sensation de tourner en rond.
En tout cas, même s'il fait souvent froid dans le dos, c'est le portrait réussi d'une mère calamiteuse qui n'aura pas réussi à avoir raison de sa fille.
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