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« Ce jour-là, dans la rubrique nécrologique du Figaro (j'y jette toujours un oeil, sans doute pour me délecter d'être toujours vivant), il y avait un encadré intitulé :
« Recherches - Le 31 janvier 2005 s'est éteint à l'âge de 82 ans à Toronto (Ontario, Canada), M. Gerhardt Meidenberg, ancien agent de bord Air Canada. Il laisse une soeur et une nièce, et probablement un fils né entre 1947 et 1949 alors que le défunt rés idait à Berlin-Spandau. La mère, dont le prénom était sans doute Renée, était de nationalité française ou belge, célibataire, probablement attachée militaire ou au corps diplomatique. Merci de communiquer toute information par télécopie, etc. » Quelque chose de trouble me revint sans que je puisse en identifier la source : des paroles surprises, ou pire, des silences lourds dans mon enfance. Des histoires « comme on s'en crée quand on a envie de grandir plus vite » ?
« Bien meilleur et bien pire... car j'ai été bien meilleur et bien pire que le monde ne peut le savoir » faisait dire Montherlant au roi Ferrante. Vrai, cher Henry, mais c'est le petit mot « et » qui fait toute la justesse de votre remarque. Comme le bon grain et l'ivraie qui sont condamnés dans les Écritures à pousser ensemble jusqu'à ce que le créateur les sépare au moment de la moisson, le pire et le meilleur de quelques êtres chers m'attendaient pour n'être séparés qu'à la fin de l'histoire... » La Disparue de Spandau est le premier roman d'un auteur, Jean Le Cercle, qui aurait bien voulu rivaliser avec un maître écrivain anglo-saxon du même genre, dont son pseudonyme s'est inspiré...
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