Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
La dette publique est aujourd'hui, avec le taux de chômage, l'une des données dont l'évolution est suivie avec le plus d'attention. A cela une raison : le ratio dette publique/ PIB est le principal « critère de Maastricht ». Ainsi, la dette publique est-elle supposée ne pas devoir être supérieure au chiffre fatidique de 60% du PIB. Il est aujourd'hui largement dépassé, et la dette française s'apprête à franchir incessamment la barre des 100%.
Rapport après rapport, le pire est prédit si les déficits budgétaires, ou de la sécurité sociale, ne se réduisent pas et si la dette continue de progresser. Faut-il s'en inquiéter ? Que coûte réellement la dette ?
Que se passera-t-il si les taux d'intérêts, aujourd'hui historiquement bas, se mettent à remonter ?
Ce livre vise à répondre à ces questions et à démystifier les menaces fulminées. Il met en évidence les données cachées des rapports. Il en va des rapports comme des contrats d'assurance, l'important est dans les notes de bas de page ou dans les annexes !
Il s'avère ainsi que la réalité de la dette n'est pas -et de loin- ce qui en est dit ; que beaucoup de pays sont dans une situation similaire à la France, sans que cela pose problème ; que les taux d'intérêts actuels sont l'occasion pour l'Etat de mettre des milliards (plusieurs dizaines) de côté, sans que cela soit reconnu officiellement ; que la dette de la sécurité sociale sera bientôt remboursée et que des milliards (plusieurs dizaines, là encore) seront alors disponibles....
La dette n'est pas ce que l'on dit. Elle sert d'arme de dissuasion sociale massive.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Avec la collection "La BD en classe", le Syndicat national de l’édition propose des supports pédagogiques autour de thématiques précises
Découvrez les auteurs, autrices et libraires qui accompagneront le président du jury Jean-Christophe Rufin !
Une plume vive, des héros imparfaits et une jolie critique de notre société
Sénèque écrit une ultime lettre, alors qu'il a été condamné à mort par celui dont il fut le précepteur, conseiller, et ami : l'empereur Néron