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Un roman érotique où Gérard de Cortanze fait se télescoper histoire, modernité et pastiches avec beaucoup de malice. Des scènes érotiques très réussies.
Assis dans la salle de lecture de la Bibliothèque royale de Turin, Gérard de Cortanze compulse des documents relatifs à sa famille, l'une des plus illustres familles aristocratiques piémontaises (les Roero di Cortanze). La bibliothécaire, une jolie brune aux formes girondes, dépose un carton frappé des armes de la famille. Gérard y découvre une enveloppe vierge, contenant un petit in-8, une page remplie recto verso, d'une écriture très fine, très serrée, à l'encre marron. Un texte érotique signé Marie Galante, où apparaît une certaine Felicita.
La décidément troublante bibliothécaire lui présente avec un sourire complice un velin de basane brun qui contient dix autres feuillets de la même écriture, au contenu encore plus explicite. Elle en connaît un rayon sur la fameuse Marie Galante. Son histoire tragique est devenue une légende piémontaise. Gérard se rend au château de Cortanze pour vérifier la véracité de la légende. C'est Francesca qui le conduit à la chambre de la marquise...
Des passerelles se créent entre la bibliothécaire et Maria Galante, Francesca et Felicita, si bien que Gérard ne sait plus si ce qu'il vit, sent et voit dans la chambre 402 est réel ou fantasmé. Et c'est la vraie Maria Galante, lui rendant visite dans la chambre, qui lui contera sa véritable histoire. Curieusement, elle a sur le sein le même grain de beauté que la bibliothécaire.
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