Un roman adressé à un père disparu, aussi intime qu'universel
"soudain jans se mit à pleurer.
Sans raison concrète, il sanglota et enfouit sa figure dans la jupe de marie. jansen avait ôté les mains de son visage et tambourinait des doigts sur la table. les sanglots entrecoupés de jans faisaient tressaillir son propre visage, et les faibles gémissements dont ils étaient suivis se propageaient dans tout son corps. marie jeta un coup d'oeil méprisant à ce martin qui tambourinait du bout des doigts sur la table, enveloppa l'enfant dans les plis de sa jupe et le berça de-ci de-là jusqu'à ce que ses pleurs cessent.
Jans aurait aimé continuer à pleurer encore, cela faisait tant de bien d'évacuer ainsi tout l'ennui de cette journée morose et gâchée, mais sa tête se mit à lui faire mal, ce que ne compensa pas le bonheur de pleurer."
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