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Il est permis d'obéir ; l'obéissance n'est pas la soumission

Couverture du livre « Il est permis d'obéir ; l'obéissance n'est pas la soumission » de Daniel Marcelli aux éditions Albin Michel
Résumé:

On parle aujourd'hui beaucoup de l'autorité, mais peu de son corollaire, l'obéissance.
Autant la première est positive, autant la seconde paraît négative. Car, si l'on arrive à distinguer l'autorité du pouvoir, on confond aisément l'obéissance avec la soumission. On adhère à une autorité, alors... Voir plus

On parle aujourd'hui beaucoup de l'autorité, mais peu de son corollaire, l'obéissance.
Autant la première est positive, autant la seconde paraît négative. Car, si l'on arrive à distinguer l'autorité du pouvoir, on confond aisément l'obéissance avec la soumission. On adhère à une autorité, alors qu'on se soumet à un pouvoir. Et si la soumission s'obtient par la contrainte ou par la séduction, l'obéissance s'établit sur un rapport de confiance. L'obéissance construit, la soumission détruit.
Daniel Marcelli, auteur de nombreux essais, est pédopsychiatre. Sans se limiter à une réflexion sur le thème de l'obéissance, il s'appuie sur des cas concrets pour nous rappeler opportunément que l'apprentissage de l'obéissance, nécessaire pendant l'enfance, conduit à l'indispensable liberté de désobéir à la maturité. Ce faisant, il apporte une réflexion nouvelle sur un sujet très actuel.

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