On s'amuse toujours autant à découvrir les réinterprétations des dieux grecs et de leurs univers respectifs
Dans un futur sombre, sur les ruines des États-Unis, un jeu télévisé est créé pour contrôler le peuple par la terreur.
Douze garçons et douze filles tirés au sort participent à cette sinistre téléréalité, que tout le monde est forcé de regarder en direct. Une seule règle dans l'arène : survivre, à tout prix.
Quand sa petite soeur est appelée pour participer aux Hunger Games, Katniss n'hésite pas une seconde. Elle prend sa place, consciente du danger. À seize ans, Katniss a déjà été confrontée plusieurs fois à la mort. Chez elle, survivre est comme une seconde nature.
Depuis le visionnage de la saga réalisée par Gary Ross puis Francis Lawrence, la lecture des romans me trottait dans la tête. L'univers dystopique et les personnages sont les deux ingrédients qui m'ont poussée à franchir le pas.
Le premier tome pose le décor : l'Amérique du Nord n'est plus, remplacée par Panem un pays divisé entre le Capitole, partie haute de la société, et les 12 districts, la classe pauvre (rien de bien nouveau dans la structure, les faibles d'un côté et les pauvres de l'autre). Le clivage s'est opéré après de violents affrontements survenus à la suite de diverses catastrophes naturelles qui ont ébranler le pays menant à des soulèvements sociaux sans précédent.
Ce nouvel ordre national a menés à l'instauration des Hunger Games, jeu annuel qui tire au sort deux membres de chaque district (homme et femme) les confrontant dans une arène impitoyable et meurtrière où seul un candidat en ressort vainqueur.
J'ai apprécié retrouver par écrit les personnages, notant les différences entre l'adaptation et la réalité littéraire avec moins de difficulté que d'autres récits. Le roman met davantage en avant les sentiments, on s'imprègne de l'histoire personel de chaque personnage avec plus de facilité. L'héroïne, Katniss, fait preuve d'une puissance de caractère et d'une spontanéité qui lui donne beaucoup de relief et de prestance.
La relation avec son concurrent masculin du district, Peeta, m'a semblée en revanche un peu maladroite, trop mielleuse, j'aurais aimé moins de fioritures même si leur duo fonctionne très bien. Les descriptions des districts, des Hunger games, et du Capitole sont suffisamment réalistes pour qu'on s'immerge dans ces univers totalement opposés, l'écriture pointilleuse de Suzanne Collins est parfaitement à propos.
En somme, j'ai autant apprécié l'adaptation cinématographique que le roman même si j'ai trouvé ce dernier un peu moins puissant. Suzanne Collins met beaucoup de fluidité, de dynamisme dans son écriture, faisant passer un agréable moment.
"The Hunger Games": une trilogie ultra-célèbre à présent, mais surtout des meilleures dystopies que j'ai jamais lues! Suzanne Collins nous plonge dans un monde futuriste sinistre dans lequel, suite à une terrible guerre civile, de jeunes gens sont tirés au sort chaque année dans le camp des anciens vaincus, et doivent s'affronter dans une arène jusqu'à ce qu'il ne reste qu'un survivant. Les combats sont diffusés en temps réel et commentés, vus comme une source de divertissement, à la façon des jeux de cirque antique, pour amuser les habitants du camp des vainqueurs - quand aux autres, ils n'ont pas le choix: il est obligatoire de les regarder. L'histoire se déroule dans ce qui semble avoir été les Etats-Unis mais s'appelle désormais Panem, un nom qui évoque la devise romaine "panem et circem" - du pain et des jeux - la recette d'un peuple soumis. Antiquité et télé-réalité se conjuguent donc pour donner un arrière-plan cauchemardesque à l'histoire de Katniss, adolescente orpheline de père, responsable de la survie de sa famille depuis le décès de ce dernier, et dont la petite soeur est tirée au sort au début du roman. Pour la sauver d'une mort certaine, elle se porte donc volontaire à la place de cette dernière, et se retrouve à devoir lutter pour survivre contre les autres jeunes gens désignés, dont un qu'elle connaît bien, Peeta, le fils du boulanger, qui l'a sauvé de la faim quelques années plus tôt en lui donnant du pain. Pourra-t-elle le tuer pour revenir à la maison s'occuper de sa soeur? Au-delà de l'histoire palpitante, ce roman dérangeant nous amène à nous beaucoup de questions qui n'interpellent pas que les adolescents: jusqu'où peut-on aller pour survivre? Que sont le bien et le mal? Peut-on réellement changer les choses? La fin justifie-t-elle les moyens? L'amour peut-il tout réparer? A lire sans modération, ainsi que les deux volumes suivants de la trilogie.
Un premier tome captivant et anxiogène à la fois de la première à la dernière page.
Le meilleur de la trilogie à mon goût, même si la suite se laisse lire aussi
Un vrai coup de cœur !
Etant fan des univers dystopique, j’ai retrouvé tout ce que j’aime. Un univers travaillé, qui tient la route du début à la fin…
Ca a été impossible pour moi de sortir de ma lecture avant la fin du livre !
Je le recommande à 100 % petit conseil avant de le commencer, acheté toute la saga ou vous serez très frustré de devoir attendre avant de connaître la suite !
https://fantasybooksaddict.blogspot.com/2020/01/hunger-games-tome-1-suzanne-collins.html?m=1
Petite relecture de cette saga et quel bonheur de m'y replonger ! Je l'avais lu à l'époque de sa sortie, bien avant l'engouement qu'a suscité le premier film, qui soit dit en passant est très fidèle.
J'apprécie toujours autant cet univers dystopique cruel et dur. En effet, notre monde a été remplacé par Panem et ses 12 districts. Afin de les dissuader de se rebeller, Panem organise chaque année un jeu télévisé où 12 garçons et 12 filles sont tirés au sort et sont envoyés dans une arène afin de s'entretuer sous les objectifs des caméras. Tout est parfaitement amené et avec originalité. L'émotion est également bien présente tandis que le contraste entre riches et pauvres est très flagrant et vraiment intéressant à découvrir. Alors que la petite sœur de Katniss est désignée, celle-ci se porte alors volontaire.
Bien que celle-ci ait un côté blasé et assez renfermé, elle a du caractère et est courageuse. C'est une battante ! Elle a dû faire face à des choses, qui l'ont faite grandir trop vite et lui ont donné beaucoup de maturité pour ses 16 ans.
En parallèle, on a notre second personnage principal, Peeta, qui est son exact opposé et est très solaire. Si Katniss a vécu dans la pauvreté, lui a eu plus de chance en naissant dans une famille de boulanger où il n'a presque pas connu la faim. Certes, il était parfois un peu trop mou mais il a vraiment bon cœur et ne manque pas non plus cran, de bonne volonté.
En conclusion, même si c'est une relecture, cela n'empêche pas que ce soit une nouvelle fois un coup de cœur. On ne s'ennuie pas une seule seconde ! L'univers est cruel et les personnages sont complètement dingues. On s'y attache facilement car on peut s'identifier à eux grâce à leurs qualités tout comme à leurs défauts. J'ai donc hâte de poursuivre avec le tome 2 !
Le film à été fidèle au livre et c'est tant mieux...
Enfin! Et oui, je commence enfin cette saga que j’ai depuis quelques années dans ma
bibliothèque mais je n’ai jamais osé sauter le pas. Il m'aura fallu un binôme pour pouvoir le
lire.
Nous retrouvons ici Katniss Everdeen qui vit à Panem, cité construite sur les ruines de
l’Amérique, une société affamée divisée en districts et qui est gouvernée par le Capitole.
Chaque année, un jeu télévisé est diffusé : vingt-quatre participants de chaque districts
sont tirés au sort pour s’entretuer dans une sorte d'arène. Sauf que cette année pour
les Hunger Games c’est Prim sa soeur qui est tirée au sort.Par amour pour sa soeur
, Katniss décide de prendre sa place pour les jeux . Bien entendu, elle devra se faire
violence pour ne pas à avoir les morts des autres concurrents sur la concience, et pour cela
l'aide de Peeta lui sera précieuse.
Au fur et à mesure que l'on avance dans le récit, nous savons à peu près ce qui va se passer.
En tout cas la plume de Suzanne Collins est très belle, facile et agréable à lire.
C’est un roman totalement addictif avec un rythme fluide écrit à la première personne.
En tout cas, les personnages principaux sont bien travaillés, ne manquais plus qu'à travailler
un peu plus les personnages secondaires mais cela arrivera sûrement dans les prochains tomes.
Une saga à lire et à voir au cinéma!
J’avais envie de vous parler de certaines de mes anciennes lectures, alors je réédite certains de mes premiers retours lecture. Même si ceux-ci sont moins élaborés et que je préfère mes retours actuels.
Cela fait des mois que j’en entends parler sans pour autant sauter le pas. Et puis, j’ai pu voir le film. Plus par curiosité qu’autre chose parce qu’ à force d’en avoir entendu parler, j’ai eu envie de me faire mon propre avis.
La société décrite dans Hunger Games est mythologique par essence mais pourrait apparaître comme l’avatar ultime d’une société contemporaine ayant décidé d’avoir une paix éternelle en dévorant ses propres enfants. La terreur joyeuse et festive comme mode de gouvernement, voilà ce que propose Panem, ce pays mythique, à travers les décisions des cadres dirigeants du Capitole.
Sur la base de thématiques très actuelle comme la télé-réalité, Hunger Games chaque district se doit d’offrir en souvenir de sa défaite, 2 tributs qui s’engageront dans un combat à mort où il ne pourra en rester qu’un ! Ces jeunes gens jetés en pâture aux habitants du Capitole, cité victorieuse et vivant dans l’opulence, n’ont qu’à compter sur eux-mêmes pour éliminer ceux qui sont pourtant leurs égaux…
Le gros plus par rapport au film, c’est que l’on est dans la tête de Katniss, on connait toutes ses pensées, ce qui a été dur à transcrire en film j’en suis consciente !
Le livre est écris au temps du présent, et non du passé mais après un petit temps d’adaptation ce n’est pas du tout gênant.
Suzanne Collins ne laisse que très peu de temps pour se remettre de nos émotions, il y a constamment de l’action – avec quelques baisses de régimes, quand même. Même si je savais ce qu’il se passerait, j’étais prise dans l’action et le suspense des Hunger Games, dans une arène truffée de pièges, où Katniss ne peut se fier à rien ni personne, où la « nature » est aussi contrôlée par la société. Le côté stratégique m’a beaucoup plu : chaque tribut ayant sa propre stratégie, j’ai trouvé intéressant d’avoir un aperçu de l’évolution et de la survie de quelques uns.
À noter : Quand vous commencerez à lire, assurez-vous d’avoir au moins quelques heures devant vous car il vous sera difficile de passer à autre chose sans connaître la fin. (Assurez-vous aussi d’avoir les prochains tomes à proximité)
En bref : Lecture très addictive !!!
On s'amuse toujours autant à découvrir les réinterprétations des dieux grecs et de leurs univers respectifs
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