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Fouad Bellamine

Couverture du livre « Fouad Bellamine » de Pascale Le Thorel aux éditions Skira
  • Date de parution :
  • Editeur : Skira
  • EAN : 9788857214559
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Né en 1950 à Fès au Maroc, Fouad Bellamine étudie les arts appliqués à Casablanca. Il commence à exposer à Rabat en 1972 tout en enseignant les arts plastiques. En 1982, il est invité à la 12ème Biennale de Paris. Il s'installe dans la capitale française, obtient un DEA en arts plastiques à... Voir plus

Né en 1950 à Fès au Maroc, Fouad Bellamine étudie les arts appliqués à Casablanca. Il commence à exposer à Rabat en 1972 tout en enseignant les arts plastiques. En 1982, il est invité à la 12ème Biennale de Paris. Il s'installe dans la capitale française, obtient un DEA en arts plastiques à l'université de Paris VIII et prépare une thèse sur le concept de muralité dans la peinture contemporaine. En 1987, il est chargé de cours à Paris VIII, parallèlement à sa fonction, il expose en France (dans la galerie Nikki Marquardt à Paris) et à l'étranger.
A son retour à Rabat, en 1989, après avoir enseigné au Centre pédagogique régional, il se consacre à la peinture et organise en tant que commissaire plusieurs expositions d'art contemporain (Dar Mrini à Rabat en 2001 et Hôpital d'enfants de Rabat). Il a participé à de nombreuses expositions collectives, tandis que son travail a fait l'objet de nombreuses publications et expositions personnelles à travers le monde.
En outre, il est présent dans de nombreuses collections institutionnelles et privées, dont l'Institut de Monde Arabe, Paris ; le Parlement Marocain, Rabat ; le Fonds National d'Art Contemporain, Paris ; le Ministère de la Culture du Maroc. Il vit et travaille à Paris et Rabat. Fouad Bellamine s'est très tôt engagé dans la peinture, dans une recherche sur la matière et la mise en espace et le travail sur la mémoire et la ville labyrinthe.
Il se construit alors son propre langage plastique et un rapport très personnel à la lumière et à l'espace. De son goût prononcé pour la recherche, se pose alors la question de l'abandon du support toile pour utiliser l'espace en tant que réceptacle, tout en étant et faisant partie intégrante de son oeuvre. « Une peinture où l'on sent le processus de fabrication ne m'intéresse pas. J'apprécie le geste créateur et spontané.
Quand cet élan n'existe pas il n'y a pas d'oeuvre ». Fouad Bellamine procède par éclaircissement, simplification, suppression de tout effet inutile. Seule subsiste un dialectique minimalisme / expressionnisme qui « dynamise la peinture ».

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