En ce début de treizième millénaire, l'Empire n'a jamais été aussi puissant, aussi étendu à travers toute la galaxie. C'est dans sa capitale, Trantor, que l'éminent savant Hari Seldon invente la psychohistoire, une science nouvelle permettant de prédire l'avenir. Grâce à elle, Seldon prévoit l'effondrement de l'Empire d'ici cinq siècles, suivi d'une ère de ténèbres de trente mille ans. Réduire cette période à mille ans est peut-être possible, à condition de mener à terme son projet : la Fondation, chargée de rassembler toutes les connaissances humaines. Une entreprise visionnaire qui rencontre de nombreux et puissants détracteurs...
Un des meilleurs livres de science fiction qu'il m'ai été donné de lire. Incontournable pour tous les amateurs. En fait c'est toute la saga qui est indispensable. Un chef d'œuvre d'Asimov.
Un roman de l'un des grands maitres si ce n'est le grand maitre de la science fiction de l'age d'or.
Fondation est l'un des deux piliers centraux de son oeuvre avec celui du cycle des robots et apporte une vision incroyablement contemporaine sur la chute d'une civilisation florissante qui chute de ses poids et son personnage/alter-égo Hari Seldon est comme l'auteur de cet ouvrage délicieusement lucide et avec cet humour si délicieux en filigrane de cet auteur sage, le "bon docteur" Asimov.
Si la science fiction ne vous fait pas peur, une œuvre qui parle d'une certaine manière de l'effondrement de l'empire occidental et d'une vision de la manière de s'en sortir.
Chef-d'œuvre qui nous en apprend en technologie, en astronomie, en mécanique de l'hyper-espace aussi bien qu'en anthropologie et sociologie. Presque toute l'œuvre d'Isaac Asimov est reliée à la Fondation, plus on en lit, plus en enrichit sa connaissance. Un futur des plus plausibles (à conditions de coloniser l'espace).
Ce que j'y ai appris me sert tous les jours, que ce soit en lisant le journal, en réunion de travail ou autour d'une pinte.
Je suis plus qu'impressionné en lisant ce roman comment l'auteur, Isaac Asimov, a pu imaginé en son temps, c'est à dire les années 50, l'évolution de la technologie, que nous connaissons aujourd'hui et qui ne sont que les prémices d'une technologie encore plus avancée, plus performante et dont l'homme sera incontestablement son esclave.
Car ce roman traite bel et bien de l'homme face à la technologie, sa soumission face à l'évolution qui peut le différencier du barbare de l'érudit.
L'auteur nous emmène de la chute de l'Empire jusqu'au premières crises que va devoir affronter la Fondation pour lui permettre de renaître.
La manière dont la Fondation traite les crises et dont elle s'en sort est magnifiquement bien réfléchie. On avance dans le roman et nous voulons en savoir plus, ce premier tome annonçant une suite des plus passionnantes. Et tout ça écrit avec une grande fluidité. A lire absolument...
Une référence en matière de science fiction
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